Dernier billet de cet exercice littéraire. Alors qu'on attendait avec impatience la fin du confinement et l'arrivée du printemps, tout ne s'est pas passé comme prévu. Ces premières sorties en semi-liberté a mis notre cinquième sens à rude épreuve.
Pour se protéger du Covid-19, distance d'un mètre, plus de poignées de main, plus d'embrassades. Ces mains, désormais sous haute surveillance, ont pourtant un rôle social. Que deviendront ces gestes à l'avenir? Pour cet exercice littéraire, je vous propose aujourd'hui une réflexion sur le toucher.
Heureusement pendant ce confinement, il nous reste un plaisir : la nourriture. Car oui, les papilles gustatives sont mobilisées pour surmonter cette épreuve. Montre-moi ta table, je te dirai qui tu es! Notre table est un marqueur social. Pour cet exercice littéraire, je vous propose une réflexion sur le goût.
Les murs fins de nos appartements nous en disent un peu plus sur nos voisins. Et sur nous-mêmes... Pour cet exercice littéraire, je vous propose une réflexion sur l'ouïe.
Le confinement nous met à l'épreuve : non seulement, il nous ouvre les yeux sur nos proches mais nous fait aussi l'effet d'une loupe sur leurs défauts. Comment les supporter, confinés 24 heures sur 24? Pour cet exercice littéraire, je vous propose une réflexion sur la vue.