A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, je mets ici en lumière le fait que hommes cis s’octroient un droit sur le corps de la femme, soit de manière assumée, soit de manière insidieuse à cause, entre autres, du patriarcat et de la culture du viol. Les violences sexistes et sexuelles sont un fléau. La culpabilisation des victimes est un cauchemar lancinant.
Non, il ne fait pas bon naître femme en ces temps soit disant modernes. Non seulement les droits acquis ne sont jamais fermement entérinés mais surtout il reste encore tellement à faire avant que les femmes n'atteignent l’égalité sociale avec les hommes. Ce premier article est un balayage des différents terrains au sein desquels l'inégalité bat son plein.