Le tyranneau Mac-Macron ne tient qu’à un fil, celui que lui tendent encore Martinez-Veyrier et leur intersyndicale factice de sommet.
En effet, le 7 janvier, les « partenaires sociaux » sont conviés à discuter de la pénibilité et autres « quenelles » (pour reprendre un mot d’ADEL dont voici la vidéo : https://youtu.be/M0eTKA6Q-P8 évoquée dans notre édition d’hier).
Les grévistes ne gesticulent pas, ils créent de leurs propres mains la dynamique de la RUPTURE : rupture avec Macron, avec les « réformes » et – qui sait- avec ces moulineurs qui devisent avec Macron, s’ils s’enferrent dans ce "dialogue".
Pour les grévistes, chaque jour est une victoire morale remportée sur les arrogants, ceux qui n’ont plus seulement des casseroles mais, en langage célinien « la merde au cul »[1]
A leur côté, bien plus que ne le radotent les sondages, la population en difficulté apporte toute sa solidarité, les caisses de grève enregistrent des records. Des artistes, dont Bigard, encourage cette forme de solidarité prometteuse.
Bonnes fêtes à ceux qui luttent et ceux qui apportent leur soutien ! bonnes fêtes à toutes et tous !
A DEBATTRE ET A SUIVRE, COMME TOUJOURS !
[1] LF Céline, en dépit de ses choix nihilistes et antijuifs, avait une réserve de lucidité qui lui fit écrire à propos des collabos en fuite à Sigmaringen (août 1944) : « ils sont partis, la merde au cul… ». Les tragédies se répètent ensuite sous formes de farce avait prévenu Marx