Par alternatiba
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À l'heure des catastrophes climatiques extrêmes sur toute la planète, le discours du gouvernement est insupportable. « Écologie excessive », image d’un lent « marathon » ou auto-congratulations infondées, c’est à peu près l’essence de la tribune, encore décevante, signée par B. Pompili et P. Canfin le 22 juillet [1]. À l’occasion de la sortie du rapport du GIEC, ce 9 août, Alternatiba répond.
État de nécessité, liberté d'expression : en deux ans de procès, les décrocheur·ses du portrait de Macron ont obtenu six relaxes. Ces actions de désobéissance civile ont fait entrer l'urgence climatique dans le débat jusqu'au sein de la magistrature. La Cour de cassation devra statuer sur leur légitimité ce mercredi 23 juin.
Suite à l’article «Climat: où est passée la colère?» de Jade Lindgaard du 10 mai, il nous a semblé important de rappeler que la stratégie du mouvement climat ne se limite pas à des marches festives et des slogans rigolos sur des pancartes.
Depuis six mois, un mouvement populaire non-violent lutte avec détermination pour la démocratie et la liberté en Biélorussie. Cet article, publié initialement par la revue Alternatives Non-Violentes, décrypte les principes de la stratégie non-violente du mouvement biélorusse.
Les listes candidates ainsi que notre président redoublent d’efforts pour convaincre de leur conversion écolo. Soyons lucides face aux opérations de greenwashing : en dressant le vrai bilan de Macron devant l’Élysée, en marchant massivement et en nous emparant de l’échéance des municipales, nous sanctionnerons les candidatures qui ne défendent pas sérieusement le climat et la justice sociale.
La grève du 5 décembre s’annonce comme un moment fort de convergence des différents corps de la société dans la lutte contre la casse sociale orchestrée par le gouvernement Macron. Alternatiba et Action Non-Violente COP21 seront au rendez-vous pour faire front contre ce système qui nous mène vers la catastrophe sociale et écologique. Nous relayons l’appel de Bizi à rejoindre la grève.
La radicalité est au centre de débats intenses dans le mouvement climat. Mal défini, sujet à des interprétations diverses et utilisé pour désigner des phénomènes différents, le terme "radical" ressemble à une boussole déréglée. À un moment de forte mutation du mouvement climat, où les débats sur la radicalité sont si nécessaires, quels sens peut-on donner à ce mot ?
Depuis l'annonce du jugement extrêmement sévère de la Cour Suprême en Catalogne, un « Tsunami démocratique» a déferlé dans les rues pour s'opposer à la répression et défendre les libertés fondamentales. Petite observation de ce mouvement revendiqué comme non-violent qui, moins d'une semaine après son déclenchement, compte plus de 310 000 personnes sur sa boucle Telegram.
Une semaine après le G7, l’heure est au bilan pour le camp altermondialiste dans sa diversité. Les difficultés d’organisation et de mobilisation du contre-G7 posent des questions et créent des tensions, dont certaines ciblent l’implication – réelle ou fantasmée – de nos mouvements Alternatiba et ANV-COP21. Nous tentons ici d’apporter des éléments de réponse et d’analyse sur cette séquence.
Nous avons publié le 5 juin 2019 un article intitulé "Climat, l'heure de vérité". Pierre Gilbert, responsable de la rubrique écologie pour le média Le Vent se Lève a écrit une réponse que nous reproduisons ci-dessous.