L’ère du digital a changé nos modes de consommation mais aussi, d’une certaine manière, les produits que l’on consomme. La filière culturelle est elle-même touchée. L’accès à une œuvre n’a jamais été aussi simple aujourd’hui. Mais cela signifie-t-il une diversité de l’offre et de la demande ?
L’exposition “Women House” à la Monnaie de Paris (du 20 octobre 2017 au 28 janvier 2018) donne l’occasion de réfléchir à un aspect particulier de la condition féminine : le rapport à l’espace domestique. Rappelons tout de même que, pendant longtemps, (et quelques bribes persistent de nos jours), les femmes ont été cantonnées dans un rôle de mère au foyer.
“Il va falloir lutter”. C’est par cet encart que s’ouvre le premier film d’Amandine Gay, diplômée de Sciences Po Lyon, jeune comédienne militante afro-féministe et LGBT, vivant aujourd’hui à Montréal.
Dimanche 29 octobre, vers 15h à République, quelques milliers de #metoosiennes et de #metoosiens sont venus se rassembler, pacifiquement, pour dénoncer les violences sexuelles subies par nombre de femmes. D’autres points de rencontre, à Amiens, Besançon, Bordeaux, Clermont Ferrand, Marseille, Montpellier, Lille, Lyon ou encore à Toulouse étaient également prévus.
En pleine affaire Weinstein, alors que des femmes du monde entier apportent leur témoignages sur les réseaux sociaux via les hashtags #balancetonporc ou #metoo et qu’un rassemblement se prépare le dimanche 29 octobre, sort sur nos écrans La belle et la meute de la cinéaste tunisienne Kaouther Ben Hania.
Plusieurs sorties cinématographiques récentes interrogent la place du citoyen au sein du pouvoir — pourvoir politique, économique, législatif.
Sous le règne de Jupiter, ces petites réflexions me semblent particulièrement appropriées, et il serait sans doute de bon ton que l’on s’y attarde un moment.
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