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La débâcle de Macron profite à l’extrême droite
Deux mois après sa réélection, le président de la République échoue à obtenir une majorité absolue à l’Assemblée. Une situation inédite depuis trente ans. La gauche unie de la Nupes devient, de loin, la principale force d’opposition. Mais l’extrême droite obtient un nombre historique de parlementaires.
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Les dissidents de gauche en plein no man’s land politique
François Hollande et Carole Delga lors d’une réunion publique à Tulle, le 6 juin 2022. © Photo Pascal Lachenaud / AFP
Les sociaux-démocrates payent cher leur dissidence aux législatives. En plein flou sur la question des reports de voix pour le second tour, ils hésitent sur leur stratégie à tenir à côté de la conquérante Nupes.
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Législatives : le retour du péril rouge
Photo illustration. © Simon Toupet
Par intérêt électoral ou conviction idéologique, nombreux sont ceux qui fustigent l’union des gauches. Un tir de barrage dont la violence rappelle de lointains épisodes, dans les années 1970 ou lors de la constitution du Front populaire.
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Valls, Blanquer, Zemmour et leurs contre-modèles : de la télé à la réalité
Jean-Michel Blanquer, Éric Zemmour et Manuel Valls. © Photo illustration Sébastien Calvet / Mediapart
Ces trois coqueluches médiatiques, qui incarnent la droitisation extrême de l’expression publique de cette dernière décennie, ont été éliminées dès le premier tour des législatives. Sans grand relais et dans des circonscriptions bien moins favorables, Stéphane Ravacley, Rachel Keke et Nicolas Cadène, eux, sont qualifiés pour le second tour.
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Ces socialistes qui refusent l’union, d’hier à aujourd’hui
Jean-Christophe Cambadélis, François Hollande, Carole Delga, Bernard Cazeneuve et Stéphane Le Foll. © Photo illustration Sébastien Calvet / Mediapart
Dans les années 1970, le programme commun fut rejeté par des membres du PS imprégnés de culture anticommuniste. Ils ne trouvèrent aucun espace pour une quelconque « troisième voie ». À cinquante ans de distance, le même défi se pose aux contempteurs de la Nupes.
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L’amour toujours : pourquoi l’Italie fascine depuis longtemps l’extrême droite française
Giorgia Meloni et Marine Le Pen de l'émission de télévision italienne « Di martedi » à Rome, le 20 janvier 2015. © Photo Alessandro Di Meo / Ansa / Abaca
L’ascension de la nouvelle figure de la droite radicale, Giorgia Meloni, est regardée de près par l’extrême droite française, en pleine recomposition. Même si elle a souvent tenté de les faire oublier, les liens avec ses homologues italiens sont anciens et profonds.
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Inflation : l’effet domino mondial
© Amaury Cornu / Hans Lucas via AFP
Le choc énergétique est en train de se propager dans toute l’économie. L’envolée des coûts et des prix touche tous les secteurs et affecte l’ensemble des ménages. La Commission européenne tente d’en minimiser l’ampleur, afin de ne pas nourrir les revendications salariales. Jusqu’à quand est-ce tenable ?
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Haïti : « La France est empêtrée dans l’histoire coloniale »
Sur la place centrale de Port-au-Prince, la statue d’un homme qui a fui sa condition d’esclave et appelle à la rébellion en soufflant dans une conque. © Photo Sabin Johnson / Anadolu Agency via AFP
Après la publication d’une série d’articles du « New York Times » sur la « dette de l’indépendance » payée par Haïti à ses anciens colons français, l’historienne de l’esclavage Myriam Cottias revient sur les difficultés de la France à se pencher sur son passé esclavagiste.
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Haïti : l’histoire sombre des banques coloniales françaises ressurgit
La Banque nationale d’Haïti à Port-au-Prince, en 1910. © Archives
Dans son enquête choc sur les prédations commises dans le passé sur Haïti par la France, le « New York Times » pointe le rôle sombre du Crédit industriel et commercial. En vérité, toutes les banques coloniales françaises ont vécu en Asie, en Afrique ou aux Antilles sur le même système de pillage.
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Aide alimentaire : le chèque en bois du gouvernement
Une cliente choisit un panier Zero-Gaspi à Paris. © Photo Serge Tenani / Hans Lucas via AFP
Pour faire face à l’inflation, la première ministre, Élisabeth Borne, a annoncé le versement à la rentrée d’une aide destinée aux ménages modestes. Une réflexion est officiellement engagée pour un chèque alimentaire pérenne. Mais les obstacles à sa mise en œuvre sont nombreux.