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Une fois de plus, nous allons, aujourd’hui, parler du coronavirus, mais nous n’allons pas en parler d’un point de vue sanitaire, mais nous allons évoquer la dimension politique de la pandémie – en l’occurrence sa relation au pouvoir
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Dimanche dernier, le 27 septembre, ont eu lieu les élections destinées à renouveler la moitié du Sénat. Sans doute n’est-il pas inutile de s’interroger à la fois sur la signification de ces élections et d leurs résultats et sur le rôle du Sénat dans le paysage institutionnel français
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Réfléchissons aux significations politiques du coronavirus pour notre espace public, pour les identités politiques et les engagements dont nous sommes les porteurs et les acteurs dans notre vie sociale. Au-delà de sa dimension proprement sanitaire, le coronavirus remet en cause les fondements même de notre vie publique, de nos sociétés.
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Les événements qui se sont déroulés en Biélorussie et l’incapacité de l’Union européenne à y jouer un rôle, mais aussi l’approche des élections européennes, et les situations de crise dans lesquelles se trouvent plusieurs pays de l’Union comme la Grèce, nous incitent à engager une réflexion approfondie sur le sens de l’Union européenne aujourd’hui.
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C’était annoncé dans Le Monde du 4 septembre : un congrès réunira, à Marseille, début janvier, les membres de l’Union internationale pour la conservation de la nature, venus du monde entier pour engager une réflexion sur la protection des écosystèmes. C’est, pour nous, l’occasion de réfléchir à la signification de la biodiversité.
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La pandémie du coronavirus bouscule les logiques classiques des engagements politiques, mais, au-delà de ce qui se produit dans le cadre des politiques de santé publique liées au coronavirus, sans doute est-il temps d’engager une véritable révolution copernicienne de la politique, pour reprendre la figure proposée, au dix-huitième siècle, par Kant.
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Si nous avons eu l’occasion d’évoquer ce fait que, grâce en particulier aux élections municipales, la ville redevient un espace politique, sans doute importe-t-il de réfléchir aujourd’hui à ce que l’on peut appeler le retour de la politique dans l’espace public après cette forme de suspension qui aura été imposée par la pandémie du Covid-19.
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Le communisme semble connaître à la fois une crise et un renouveau. Peut-être est-ce l'occasion pour lui de se donner de nouveaux projets, de se parler dans de nouveaux discours, de s’inscrire dans des expressions renouvelées. C’est un peu pourquoi nous parlerons aujourd’hui de la culture communiste en l’inscrivant dans un espace, en l’articulant à l’espace de la Méditerranée.
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La tension que connaissent aujourd’hui les pays de la Méditerranée, mais aussi les incidences de cette tension sur les cultures et les sociétés de ce monde nous engagent à réfléchir aujourd’hui sur le monde politique méditerranéen contemporain et sur ce qui le caractérise en faisant de lui un espace politique particulier.
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Deux événements ont eu lieu presque en même temps dans deux pays de l’espace méditerranéen : la destruction de près de 800 hectares à la suite d’incendies dans les Bouches-du-Rhône et une explosion particulièrement violente, à Beyrouth, qui a sans doute provoqué au moins cent morts. Cela nous amène à réfléchir à ce que signifie la mort dans l’espace public