- 0 billet
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 150 favoris
- 7 contacts
Ses favoris
-
«Eloge de l’arbre», merveille de développement durable
Extrait de «Eloge de l’arbre». © Eric Watt
Le paysagiste Gilles Clément et le botaniste Francis Hallé échangent sur leur passion et leur connaissance des arbres. Cette conversation nocturne entre amis dessine des paysages inconnus et surprenants. Ce film d’Éric Watt vous est proposé en intégralité grâce à notre partenariat avec Tënk, plateforme du documentaire d’auteur.
-
Ces hommes et ces femmes que nous appelons «migrants»
A l’argument le plus fréquent qui consiste à dire «Nous ne pouvons pas recueillir toute la misère du monde», vous savez bien, vous, que la France (comme tous les autres pays du monde) a déjà connu des vagues de migration, d’Italiens, d’Espagnols, de Nord Africains qui ont été d’une aide considérable dans l’évolution de notre pays et de l’Europe en général. -
Shoah: qu’auraient pu faire les Américains?
Le Mémorial de l’Holocauste, à Washington, présente une exposition spéciale sur ce que savaient les Américains du génocide des Juifs, sur ce qu’ils ont fait, et sur ce qu’ils auraient pu faire. Visite détaillée ici des panneaux exposés et de l’argumentation des organisateurs. -
10:07
La vie de château sur fonds publics des époux de Rugy
Aujourd’hui, Arnaud Romain lit l’article de Fabrice Arfi, La vie de château sur fonds publics des époux de Rugy, publié sur Mediapart le 10 juillet 2019.
-
Rançon, viol, torture: récits de migrants rescapés de l’enfer libyen
Aïcha et sa fille après avoir été secourues en Méditerranée par « L'Aquarius » le 26 juin 2016 © Yann Merlin / Hans Lucas
Des migrants subsahariens secourus en Méditerranée racontent les exactions qu’ils ont subies en Libye. D’après leurs récits, l’armée libyenne, destinataire de fonds européens, est partie prenante du trafic d’êtres humains qui sévit dans ce pays.
-
Face aux diversions du clan Sarkozy dans l’affaire libyenne: les faits
MM. Sarkozy et Kadhafi, en 2007, à l'Elysée. © Reuters
Cet été, les sarkozystes ont mené tambour battant une opération de communication, largement alimentée par une série d’articles du Journal du dimanche, pour dénoncer une « machination » dans l’affaire des financements libyens. La manœuvre ne résiste pas à l’examen des faits. Les voici.
-
Voir dans le Noir avec Toni Morrison
Toni Morrison © Philippe Wojazer / archives Reuters
La mort de Toni Morrison est tout le contraire d’une disparition. C’est une invitation à résister à la prolifération des discours de haine. Son œuvre, qui déploie le lieu de la langue et de l’imaginaire comme un champ de bataille, est une arme contre l’ensorcellement raciste et sexiste de nos sociétés. Dans la nuit xénophobe, elle nous apparaît telle une constellation comme le suggère le titre d’un de ses livres : Playing in the Dark. Christian Salmon témoigne sur celle qui fut l’une des initiatrices du Parlement international des écrivains.
-
«Moi, je suis anarchiste»
Cette affirmation provoque souvent peur et/ou dédain. Caricaturée, ostracisée, voire criminalisée, la pensée libertaire est pourtant la SEULE en mesure de répondre aux exigences écologiques actuelles. Démocratie directe, autogestion, municipalisme : tout ceci constitue le socle des écosociétés à venir. « Y en a pas pas un sur cent, et pourtant, ils existent, les anarchistes ! » (Léo Ferré). -
Médaille de Chevalier des Arts et Lettres: j’ai bien peur de devoir refuser cet «honneur»
Monsieur le ministre de la Culture, à ma très grande surprise, vous m’avez adressé la semaine dernière un courrier pour m’annoncer que vous me décerniez le grade de chevalier des arts et lettres. Je vous remercie de cette délicate attention, mais j’ai bien peur de devoir refuser cet «honneur». -
Enquête sur nos (très) chers «eurocrates»
Jean-Claude Juncker et Donald Tusk, actuels président de la Commission européenne et du Conseil européen. © Reuters
Alors que le chef de file du PCF aux européennes veut « baisser le salaire de monsieur Juncker », Mediapart s’est penché sur les très confortables rémunérations et autres avantages de l’administration et la fonction publique européenne. Si les 60 000 « agents » qui travaillent pour l’UE sont loin d’être à plaindre, certains jugent leurs émoluments tout à fait justifiés.