Ma soeur exerce la profession d'aide à la personne dans les hautes-Alpes.
Elle doit exercer son activité sans la moindre protection (gants, masques), mettant ainsi en danger sa santé ainsi que celle des personnes assistées, avec un fort risque de favoriser la dissémination du virus chez les personnes les plus vulnérables.
Ceci est contraire aux mesures prises actuellement pour contenir l'épidémie.
Cette profession semble totalement oubliée dans la crise actuelle.
L'exercice du droit de retrait priverait les plus vulnérables d'une aide indispensable.
Comme pour les professions médicales, l'emploi du masque ffp2 apparaît justifié pour cette profession.