Bon, comme le dit le titre, le sujet principal n'est pas les infirmières à moustache (que je salue cordialement, les autres aussi d'ailleurs) ni l'évocation d'un souvenir de jeunesse, le passage à la queue leu leu, en slip, devant l'infirmière qui nous examinait et vérifiait d'un oeil vif et d'un geste rapide l'état d'avancement de notre puberté avant de mesurer poids, taille et état des dents et des yeux. Non le sujet principal, dans le titre, est l'état de la médecine scolaire actuellement. Avec la réflexion qui s'ensuit: comment peut-on relever le défi posé par la pandémie alors que les services sanitaires sont réduits à leur plus simple expression dans les établissement scolaire., Couverture régulière du suivi de la santé des élèves par une médecine bien présente dans les écoles, vaccination dans les dispensaires, j'ai ce souvenir peut être idéalisé d'une époque révolue (idéalisé car je n'ai pas l'impression de moments bien agréables surtout en ce qui concerne les piqures contre la polio). Mais l'absence de personnel soignant n'est-elle pas due à la présence des épilateurs électriques? On peut se poser la question. BA 14/01/21
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