
Buurba Jolof
Bouna C.E. Mbaye, amateur de quesadillas, de roti canai et de punchlines salées
Sa biographie
Jeune seine-et-marno dakarois avec une formation (express) en science politique et (vite-fait) en relations internationales; le tout agrémenté d'expériences professionnelles dans le monde de l'humanitaire.
Pratique la punchline dans la catégorie "amateurs", comme les footballeurs du dimanche.
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Ses billets de blog
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Vertus et vertiges du business de la "pleurniche victimaire" (des médiacrates)
La "pleurniche victimaire" par et pour les médias est un créneau commercial à fort potentiel. Mais le modèle économique de la pleurniche souffre également de limites qu’on aurait tort de sous-estimer. A force de prendre les Gaulois réfractaires au "politiquement correct" pour des coqs que l'on pourrait plumer à l'envi, on s'expose dangereusement au risque de se prendre les pieds dans le tapis. -
Voyage dans l’univers des très médiatiques seigneurs de l’auto-victimisation
Une du magazine Valeurs Actuelles. Semaine du 19 octobre 2017
Deuxième partie du dossier intitulé "Pleurnicher pour mieux régner... dans les médias: une opération marketing condamnée à réussir?". Cette deuxième partie s'intéresse aux stratégies d'auto-victimisation des intellectuels qui forment le trio magique des champions intergalactiques, toutes catégories confondues, de la "pleurniche victimaire" par et pour les médias. -
L’anti-victimisation, une vertu républicaine ?
De gauche à Droite: Hapsatou Sy, Sonia Mabrouk et Christine Kelly
Première partie du dossier "Pleurnicher pour mieux régner...dans les médias: une opération marketing condamnée à réussir?" Cette première partie analyse la manière dont les discours sur la « pleurniche victimaire » tendent à opposer deux catégories de « personnes issues de la diversité » selon l’attitude que ces dernières adoptent vis-à-vis des « postures victimaires » -
Pleurnicher pour mieux régner: une opération marketing condamnée à réussir ?
Les discours sur la « pleurniche victimaire » reposent sur un grand paradoxe : les principaux pourfendeurs du « despostisme victimaire » en sont les pratiquants les plus zélés. La « pleurniche victimaire » est ainsi devenue un des principaux fonds de commerce d’une mouvance identitaire qui défend bec et ongles ses (très médiatiques) porte-voix face à des concurrents « issus de la diversité ». -
Lettre ouverte au courageux « Jules Ferry » de Résistance Républicaine
Une invitation à débattre publiquement des sujets qui fâchent autour d’un couscous républicain ou d’une entrecôte (hallal)