De temps en temps je vais sur le Post au nom d'un droit revendiqué à la connerie.
Parfois j'y dépose un commentaire
Avec l'entrainement aux trolls que j'ai acquis sur Médiapart et avec leur envahissement sur le site du Post j'écris à propos d'un billet intitulé
Soutien à Beigbeider dans son combat contre la garde à vue, "
" Bravo l'UMP vous avez réussi à massacrer ce site qui n'est plus lisible.
Vos commentaires d'une vulgarité et d'une banalité affligeante ont eu raison de ce site au départ populaire et sympathique. Cette tactique est voulue vous introduisez des virus de conneries goguenardes et insultantes alors le tour est joué tout plein de crétins suivent et le Trojan fait son travail.
Encore BRAVO de la belle œuvre politique
Mon texte parfaitement Troll a bien sur été modéré, c'est à dire sucré.
Sucré par une société privée de modération dont le but est de ne pas déplaire à son employeur, lequel employeur ne peut déplaire aux pouvoirs d'argent qui le finance via la pub.
Sur Médiapart on en est pas là heureusement. On apprend à contenir comme on peut les débordements passionnels avec des pièges à troll, des espaces à troll, des remontrances du chef et toutes les nombreuses suggestions des lecteurs agacés par cet envahissement affectif.
Même bancale, même insuffisante cette autorégulation est infiniment plus sympathique qu'une censure professionnelle qui retire une bonne partie du charme et de la fraîcheur d'un site participatif .
Ce matin à France Inter, la critique d'Edwy Plenel sur l'information gratuite est très judicieuse. Inexorablement les médias qui la pratiquent sombrent dans un populisme contrôlé par le pouvoir de l'argent le quel est intimement mêlé au pouvoir politique.
C'est en refusant la publicité que le Canard Enchainé a survécu dans l'indépendance, Médiapart doit suivre cette voie mais ses lecteurs doivent apprendre à mieux contrôler leurs débordements affectifs ce qui n'est pas facile.