(5) "Alcoolo, à bout de souffle” : une ivrognerie et pourquoi ?
"L'alcool conserve les fruits... la fumée la viande." Gainsbourg citant Hemingway
“As-tu peur d'être enfermé en psychiatrie ou en prison du fait de tes crises de rage, de haine ? Casses-tu tes portes ou cuisine à coups de pieds ou de poings? As-tu envie d'être casseur dans les manifestations d'extrême-gauche ? Es-tu borderline ? Tu es sage, tu as des enfants, un travail, une femme, un loyer; tu es un garçon sage. Je suis, à la fois, bien plus fou : insoumis, poète, rebelle et n'acceptant pas : ce qu'on appelle le service "à-minima". Quand je pense ou formule dix mots, tu dois probablement en formuler trois. Parce que tu es plus "normal", adapté que je puis l’être. Je hais la réalité. Sors peu. N'aime pas la perte de temps dans tout ce qui n'est pas de la création du beau. Déteste la rue, l'extérieur. Je déteste les chefs, ils sont (dans mon viseur) la plus part du temps sadiques... Et je préfère être chef, moi-même. C'est pour cela que sur les milliers de lettres envoyées aux employeurs, avec ma formation en philosophique, sociologie et surtout clinique : les employeurs ont, bien évidement et certainement à raison, peur... Ma compagne qui vit avec moi depuis plus de quatre ans dit que je ne peux que: recevoir des patients en psychanalyse (du fait du mon cerveau analytique et "fou") et écrire. Pour elle, je ne peux faire que cela. Elle me connait. Toi, pas. Alors mon cher, toi qui al la chance (ou la malchance?) de trouver des emplois, toi qui a des enfants, toi qui a une sexualité "qui fonctionne" certainement, toi qui a un cerveau qui ne "déconne pas trop", toi qui sait fermer ta greule ; je te dis : bravo ! Moi, je fais ce que je peux: je sublime. Et ne peux organiquement pas faire autrement... A bon entendeur, à bientôt.” "Lettre à un ami". L'auteur.
Je n'ai rien à voir biologiquement, ni symboliquement avec mes parents. Dé-affilié, je suis. Dé-identifié donc, oui. C'est culturel.
La révolte naît d'une malade que l'on porte dans la politique de la famille. Je suis un ami radical de la philosophie, de l'athéisme, de la révolution. Mais comment ne pas se défoncer, lorsque l'on est (le) malade de sa famille ?
Le vin rend la vie supportable. Les conditions historiques, sociales et surtout économiques sont faites pour le dénuement des pauvres. Investir ses forces intérieures, certes oui... Cela étant dit, je n'arrive pas à échapper au cocktail "cigare-vin-rouge" ! Pourquoi l'ivrognerie ? Des histoires personnelles mûrissent. Viols, abandons, traumatismes liés aux déplacements géographiques ou identitaires, divorces, chômages de longue durée, inactivités : vies sans œuvre etc. Sans cooptation, pour une personne qui pense il n'y a pas de chance, pas de sortie prévue de la prison de pauvreté.
Comment ne pas trembler ?
N'oublions pas qu'à l'instar de petits bouts de lichen la révolutions ressortent toujours, même ivre, même sans racines fixes..., ce sont des îlots, même sur le béton, tout ressort... Entre-temps, comment faire pour désirer la désintoxication ? Alors que, le désir le plus imminent est justement de s'échapper de la réalité. Accepter la réalité de l'enfant abandonné ? Impossible pour moi. Le deuil est pathologique, borderline, névrosé dans son obsession pour l'écrit, psychotique dans son dérèglement : "tabaco-alcoolo-pornographique-numérique" des sens. L'état de conscience sysesthésique et hyperesthésique est un fil électrique, funambulesque. L'angoisse gagne. Les soucis économiques se cumulent .Le "pharmakon" : substance chimique tout autant médicament que poison est bien là ! Encapsulages..., c'est une reconstruction, à coup de chimie; de corps. Comment faire ? Quand je travaillais en tant qu'apprenti, le soir, je ne buvais plus. Aujourd'hui. Je ne travaille presque plus. Le vin est pareil à une vaine révolte embuée ; infans... splendeurs et misères de rouges heures bouillonnantes, saveur acre.
(6) “Je préfère peindre des yeux humains plutôt que des cathédrales - l’âme d’un être humain - même les yeux d’un pitoyable gueux ou d’une fille du trottoir sont plus intéressants à mes yeux.” Gustave Courbet
Ce qui fait peur dans le dérèglement de la raison (nimbée de pauvreté : de gueux, de prostituées, de chômeurs, "d'anormaux") est de l'ordre du questionnement incessant ; ces points d'interrogation sont un danger... Le stigmate Vs normal aurait dit Erving Goffman, la spontanéité et l'intelligence, la douleur exprimée peut faire aussi peur à certaines personnes ou trop de liberté aussi... "Dans une langue que nous savons, nous avons substitué à l'opacité des sons la transparence des idées.” sous la plume de Marcel Proust. L'œil, le regard tremblant, cela effraie les riches, les favorisés. Le corps qui titube, qui vacille qui tétanise ; c'est l'absence de calcul, le hasard bricoleur et fragile dans l'exercice intellectuel, le regard sur l'autre sans arrière-pensée. Tout cela, reviendrait-il à prendre la toile, les réseaux sociaux, les blogs etc. pour un divan ? Au fond, rien ne fait jamais vraiment peur, si ce n'est, soi-même ! Le moi est un miroir. Dans tous les cas, le réel du dehors pousse à penser. Le cœur et la raison son des frères ennemis. C'est-à-dire qu'il n'y qu'une seule solution, sèche : penser le réalisme, contre l'idéalisme.
Que dit-on du réalisme de Gustave Courbet ? Il ne faut pas entendre par "réalisme" une tentative d'imitation servile du réel. Il s'agit pour Courbet de prendre pour objet la réalité du monde qui l'entoure. Le peintre souhaite "traduire les mœurs, les idées, l'aspect de son époque" mais en faisant ressortir sa "propre individualité". Traduire la réalité quotidienne des artistes ou poètes anonymes reste un dessein de cette perspective "réaliste." Et, c'est ainsi que les mots, les signes, les sons, les couleurs s'écrivent. Le mariage entre la politique et le moi est parfait.
Simplifié.
(7) Charpentier, imprimeur, mécanicien, tourneur,
De vieilles manufactures ou d'usines de chaussures De crises économiques en restructurations, De fermetures d'usines et de chantiers en perdition. Salut c'est nous, nous sommes les ouvriers
Manufacture de coton, de laine et de soie Les forges chez Renault, chantiers de La Ciotat D'où sortaient les bagnoles, des paquebots et du tissu. Y'en avait du boulot, ben, aujourd'hui, y'en a plus. Cadences précarité, nous sommes les ouvriers.
Le Front Pop de 36, c'était y a bien longtemps. 40 heures à la semaine, de l'espoir pour 20 ans Les congés sont payés, on n'osait même plus en rêver. Ca durera pas longtemps le chômage viendra tout doucement. On va morfler, c'est nous les ouvriers.
Tabassés les canuts 1881, 1848 les ouvriers parisiens, Chanson de Stéphane Sansévérino
Les ouvriers et leur monde sont-ils générateurs de peurs ? Dans la mesure où dans l'histoire de la pauvreté se loge d'abord la mélancolie. “La mélancolie est une maladie qui consiste à voir les choses comme elles sont” écrivait justement Gérard de Nerval. Donc, l'ouvrier pauvre voit les choses comme elles sont. Quotidiennes, ordinaires et sonrent tristes sont les nappes de la réalité. Nous sommes FATIGUES ! Oui, nous sommes les ouvriers. Ne peut-on pas penser à l'aède fatigué, ainsi le poète Henri Michaux en disait : « J’ai un cœur terrible, c’est en toute chose qu’il trouve sujet à battre. Il fait de l’émotion toute la journée, c’est un marteau, je suis le mur, il prend toute la place dans le monde. Je sors, je vais aux Indes, mais hélas je sors avec mon marteau, et il n’y a que lui pour moi, il ne me laisse rien regarder, c’est bien pour cela aussi qu’il m’a fallu renoncer à l’étude des sciences, à gagner ma croûte et à tout. » Michaux conclura : « Un écrivain est un homme qui sait garder le contact, qui reste joint à son trouble, à sa région vicieuse jamais apaisée, elle le porte. » (je reprends ces mots chez Gérard Danou).
L'ouvrier et l'homme de lettres, est-ce le même combat ?
Il s'agit d'une lutte pour l'existence (et sa reconnaissance), une lutte pour être aimé. La vie ouvrière est « crise d’existence » que traversent les cultures ouvrières. Elle sont laminées par cette « organisation de l’égoïsme » qu’est le capitalisme dont parlait Musil. Cependant, avec la mondialisation de la classe ouvrière, la culture ouvrière est loin d’être morte. N’assiste-t-on pas plutôt à un déplacement ? Car on parle de nos jours de classe populaire. Les ouvriers sont moins visibles et en déclin, les cultures ouvrières se transforment au centre ; tandis que dans les périphéries elles apparaissent et se développent. Or, ce corps fatigué veut être représenté, par les syndicats, les petits partis politiques, à travers la littérature prolétarienne. Ne pas se faire écraser. Du côté de la sociologie, enfin pour Pierre Bourdieu, les cultures populaires sont en effet avant tout des cultures de domination intériorisée. Alors que pour Michel Verret elles sont des cultures de la domination combattue. Chez Pierre Bourdieu, le déterminisme pèse de manière tellement implacable qu’on ne voit pas toujours très bien comment éviter le fatalisme social et économique. Cela apparaît plus particulièrement quand il souligne la difficulté pour les dominés d’entrer dans la lutte autrement qu’en ordre dispersé. Cette pente est cependant moins accentuée dans La Misère du monde ou, à plus forte raison, dans ses déclarations publiques de l’automne 1995. Mais chez Michel Verret l’esprit de lutte et de résistance de la culture ouvrière sont cohérents avec la vitalité attribuée aux collectifs ouvriers, c’est-à-dire avec l’idée que la classe peut fonctionner en classe-sujet. Comment trancher ? La classe ouvrière est peut-être celle qui cherche à mettre en image sa propre condition. Elle serait, à ce compte là : une poésie démystifiée - qui fait son "MARXIMUM" - dans la sublimation de la pauvreté.
Mais à quel prix ?
Sans téléviseur...!
Note : Pour plus d’informations voir l’article source : https://www.monde-diplomatique.fr/1...
(8) Préférer le Capitalisme "au travail" dont nous sommes exclus à la matraque du repli identitaire ? Être pauvre, c'est le rester ! Parce que l'on se détruit, à petits feux par le tabac et l'alcool. Au fil des jours, toujours plus de plis sur la peau apparaissent. Beau, peut-être ? Il y a là une recréation du corps. Métamorphose enflammée. Volcans de nuits... Explosions ! Le Capital suicide. La matraque emprisonne et psychiatrise. Tous les jours ça passe - je me confie à vous lecteur - pas un lever de soleil sans écrire. Je fais tout pour rester en vie, repoussant l'échéance du suicide. Décérébrés en tous sens, ça prolifère. Jouissant de l'ignorance, de la croyance en Dieu, tant et tant de vulgaires cerveaux indignes qui préfèrent l'économie au questionnement pullulent. Il n'y a pas qu'en temps de guerre que l'on peut se conduire de façon indigne. En temps de guerre économique et culturelle aussi.
A Cynthia Fleury de dire :" L'indignité économique, voilà un concept qu'il faudrait intégrer au fondement de l'ordre public et social".
2010/2011, jadis chez PSA (Mission Handicap) je notais les choses suivantes :
Que faire des loosers ? Des improductifs ? Handicapés ? Déviants ? La vérité est occulte. Le palais intérieur semble déserté. Et puis c’est une sorte de sodomie faite par la vie - , alors chez PSA intromission inclassable, à tout jamais … Tout raisonne, le vide, l’absence d’un être imaginé, fascinant. Mettons, au travail je ne peux travailler. Parce que la douleur est trop forte. C’est aussi la tenaille imposée par l’idéalisme : vains fantasmes. Ne point aimer produire pour produire mais seulement donner de soi pour l’utilité du rien le contemplation par excellence. Arriver à se foutre de tout ce qu’il soit possible de nous arriver. Nous livrer, enfin en tous points aux hasards et aux mystères de la vie. J’abhorre toute organisation. Le seul moyen d’être dans la révolte est d’être contre la rationalité. Au travail, 9 heures du matin et je me sens très mal. C’est une envie d’exploser qui est dans mon être. Une envie d’étriper la première personne qui tendrait à me faire chier. Hier texte « Enfanter » envoyé à Julia, ce matin plus d’accès à ses photos ainsi que son mur – ce n’était pas le cas auparavant. Elle à compris hier que j’y avais jeté un œil. Au moins ce sera fini, je viens même de virer deux amis avec qui nous avions passé le nouvel an. Je « Face Booke » au travail car je n’arrive plus à me tenir à une tâche qu’elle qu’elle soit. J’éructe, je hais le dégobille le monde purulent de l’entreprise, qui ne sait que répondre aux seuls objectifs de rentabilité, d’économie, et de foire au marché du plus efficace. Or dans cette haine prolongée pour le monde de l’entreprise (TPE PME ou Mondiale) la logique comptable reste la même : la place laissée au sujet est infime, car le temps est mangé. Une fois rentré chez soi, vous êtes tellement arasés qu’il n’est plus possible de rien faire ! Sauf, à écrire, encore et encore … Comme une seule possibilité de se tenir – à la barre- à quelque chose de communicable, à une logorrhée qui ne soit pas que creux linguistiques. Ce qui est absolument terrible n’est pas d’écrire ni d’en souffrir : tout travail tenu procède d’une souffrance. Mais c’est le fait qu’il n’y ait personne pour vous écouter. Cela rend fou ! Cette Julia, mutique comme une pierre les trois quart du temps n’aurait pu comprendre la profondeur abyssale du silence, si ce dernier ne l’avait pas sauvée, très certainement. Mais la reconnaissance, j’y reviens passe par la parole, le geste, l’attention portée par l’autre, sa réponse à une question que vous vous posez. Pourquoi pas une vindicte de sa part ?
Se battre. Il y a quelque chose de vif et noble, plus chez certains individus. Pourtant cela ne vient pas dire ici qu’il est des individus plus remplaçables que d’autres, non. C’est juste, de l’autre d’une aura dégagée. Benjamin, Koltès, Kafka, Pessoa, Senghor, Guyotat en compagnie de nombre de mes amis. D’autres, ne dégagent rien de poétique. Nulle poésie ou sexualité dépassée. Seuls des erzats de philosophie. Comme si le point de vue de certains relevait d’un paradis. Leur nourriture, ce pain ressort de la figure. Les plus beaux se battent. Même s’ils sont ratatinés par la vie, face à la médiocrité du réel et de la contemporanéité marchande : ils battent leurs langues d’un suc mystique ! Cela se sent. Pendant que d’autres se vautrent dans le réel. Si dur, âpre, sans reconnaissances, aucunes. Le réel fuit dans un nuage velouté de café au lait. Certains s’y perdent. D’autres font de cette déraison de la crème, qui suinte, dégouline, se perd dans un rien. A quel sens puisse-t-il faire raisonner, faire advenir la beauté ? Juste du singulier. Un combat qui se sent au travers des pas, de la nervosité alternée de calmes de la voix, ou autres signes du corps se cachant toujours. Ils se battent contre eux même. Telle est leur beauté ! Les autres se contentent de ce qu’ils entendent, comprennent, voient sentent. Ils ne sentent rien, parce qu’ils pensent tout sentir : leur réel déterminé, basique, ennuyant etc. Leurs propres médiocrités ! Ce sont ceux avec qui l’on ne sait point parler, en dehors de fadaises de l’esprit. Philosophes pour deux sous, ils sont ; qui ont oublié de louer l’ordinaire mystique - de se battre pour sa beauté - celle de la vie !
(9) Comment vivre avec un èsprit "borderline" ?
Il est une pauvreté de l'esprit que de ne pas arriver à se discipliner, prendre du plaisir à faire une chose que l'on aime, ritualiser à petit coup de petits sucres positifs. Ecrire ses émotions, les mettre sur le papier représente une jouissance infinie. Ce qui nous fait peur est le fait de faire face à soi-même. Car, nous avons peur de nos émotions qu'elles soient fougueuses, enthousiastes, ludiques, agressives voire violentes. La société nous “interdit " moralement. de désirer nous faire plaisir et par la suite d'être vraiment RESPONSABLES à travers nos actes. Il ne s'agit, nullement de taper notre voisin ! Car la violence ne résout rien, elle est toujours une nuisance et systématiquement tournée contre nous-mêmes. Lorsque nous avons peur, c'est de nous, dont nous avons peur. Lorsque nous haïssons quelqu'un, c'est ce que représente cette personne dans notre tête que nous haïssons. Ainsi, ne pas aimer autrui, c'est avoir peur de soi-même. Pour être responsables de nos actes, même si nous sommes pauvres, nous devons accueillir toute l'humanité qu'il y a en nous et alors nous aimer. Pour modestement pourvoir aimer l'altérité ; il s'agit de plonger dans les tréfonds de notre âme et chercher les mots. Demeurer une sorte de héros mélancolique, pauvre mais fier et combattant ; afin de mettre en ordre nos émotions, classer et toujours faire en sorte que ces dernières se hissent sur le principe de la réalité. Affronter la réalité - avec ses accords et désaccords - c'est mettre en œuvre notre pensée, nos émotions, en vue de faire s'épouser le dedans et le dehors de notre personnalité. Puisque je suis devenu auteur, après 35 ans de suivi auprès de “psys” ; j'ai décidé de ne consulter à présent aucun psychiatrie, aucun psychologue pas plus que de psychanalyste. Effectivement je suis bien trop "borderline" - connaissant par cœur mes traits, virulents et méditatifs, nombre de mes limites - tout autant que curieux, bien plus à l’affût de concepts, de mots, de situations cliniques que nombre de cliniciens dogmatiques, peu critiques ; anti-libertaires. Dans un suivi de patients, les deux seuls analystes que je connaisse personnellement et qui pourraient m’accompagner en qualité de superviseurs pourraient être : Pierre Henri-Castel ou Jacques Lesage de la Haye.
Leurs brillants esprits pourraient garantir un bon suivi !
Ainsi donc, exploser les portes (intérieures)... A toute vitesse !

Ici, j'écris à toute berzingue , presque "au kilomètre"...
Pourquoi aller aussi vite ? A 38 ans, j'ai attendu prés de 15 ans pour commencer à publier (articles et livres). Car, je n'avais aucun réseau. Le milieu social dont je viens n'est pas lettré. "EditionZéro " ! et cela a duré trop de décennies... Le temps est compté. Les idées se bousculent entre les pleins et les vides dans la tête. Ça va rapidement. Au vue de l'hygiène de vie que je mène, le vivant ne peut pas durer longtemps, enfin probablement... Comme une élite politique, je me compte parmi les meilleurs (AristoÏ). Bien-évidement, je n'y crois pas ! Cependant, les choses avancent et je travaille - dans ma chambre - pour moi seul. Et n'aime que celles et ceux qui me lisent ou avec qui je peux débattre. Ces derniers valent la peine d'être aimés et de me rencontrer.
Merci à eux !