Cette chanson a été écrite en 1902. Curiosité : j'ai dû l'apprendre par cœur, car elle était au programme du concours d'entrée à... l'école normale de Charleville en 1957 ! Miracle (laïque?) j'ai été reçu ! Alors, un autre miracle pour François Fillon ?
Dont le fin clocher se mire dans l'eau Dans l'eau pure d'une rivière Lorsque je suis las du monde et du bruit J'y viens à pas lents quand tombe la nuit Faire une prière. - 2 - Des volubilis en cachent l'entrée Il faut dans les fleurs faire une trouée Pour venir prier au lieu saint Un calme imposant y saisit tout l'être Avec le printemps un parfum pénètre Muguet et jasmin. - 3 - Des oiseaux parfois bâtissent leurs nids Sur la croix de bronze où Jésus souffrit Le vieux curé les laisse faire Il dit que leur chant est l'hymne divin Qui monte des choeurs en le clair matin Vers Dieu notre Père. . Pour finir Je sais une église au fond d'un hameau Dont le fin clocher se mire dans l'eau Dans l'eau pure d'une rivière Lorsque je suis las du monde et du bruit J'y viens à pas lents quand tombe la nuit Faire une prière.
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Et si le climat était une victime de la guerre en Ukraine ? Face au risque de pénurie énergétique provoquée par le conflit, les pays européens préparent un recours accru au charbon et au gaz fossile. Une marche arrière alarmante, à l’heure de l’urgence climatique, qui met en lumière notre terrible retard en matière de transition écologique.
Embargo sur le pétrole russe, État de droit, guerre en Ukraine... Sur plusieurs dossiers, le premier ministre hongrois, à l’aube de son quatrième mandat consécutif, diverge de la majorité des Vingt-Sept. Débat avec une eurodéputée et un historien spécialiste de la région.
Le 4 mars 1957, le docteur Slimane Asselah est enlevé dans son cabinet médical, au milieu de la casbah d’Alger, par les forces de l’ordre françaises. Mort ou vif, sa famille ne l’a jamais revu. Deuxième volet de notre série.
Un accord a été conclu jeudi entre le gouvernement et les responsables autochtones, à l’issue d’une longue grève générale, pour réclamer de meilleures conditions de vie. Dans la capitale Quito, la « Casa de la Cultura » (Maison de la culture) a été un endroit clef du mouvement.
Les derniers jours qui viennent de s’écouler sont venus me confirmer une intuition : il va falloir apprendre à désobéir sans complexe face à un système politique non seulement totalement à côté de la plaque face aux immenses enjeux de la préservation du vivant et du changement climatique, mais qui plus est de plus en plus complice des forces de l’argent et de la réaction.
On aime le Tour de France, ses 11 millions de spectateurs in situ (en 2019) et on salue aussi le courage de Grégory Doucet stigmatisant le caractère polluant de l’événement. Une tache qui s’ajoute à celle du dopage quand le Tour démarre ce 1er juillet à Copenhague, où l’ancien vainqueur 1996 rappelle la triche à peine masquée. (Gilles Fumey)
Pour faire face au risque de pénurie énergétique cet hiver, une tribune de trois grands patrons de l'énergie nous appelle à réduire notre consommation. Que cache le retour de cette chasse au gaspillage, une prise de conscience salutaire de notre surconsommation ou une nouvelle hypocrisie visant préserver le système en place ?
Le changement climatique s’intensifie et s’accélère mais la volonté des dirigeants mondiaux à apporter une réponse à la hauteur des enjeux semble limitée. Dernier exemple en date : le sommet des dirigeants du G7, qui constitue à bien des égards une occasion ratée d’avancer sur les objectifs climatiques.