Luciférisme apocryphe
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J'aimais tes paupières closes à mes tristesses
si je mourrais là-bas m'aurais-tu repleuré
d'un courage trop nu aux destinées leurrées
à minuit repasser par toutes mes finesses
si je savais des rois si je savais des sœurs
qui sait vraiment cela quand demain veut et meurt
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J'aimais tes paupières closes à mes paresses
la grisaille à ta rage voleuse de mon feu
poésie maudite devant dieu cet affreux
ce maître infortuné aux mille maladresses
si je sais des humbles des simples je ne sais
presque rien c'est ainsi que mes mots renaissent
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