TRACT DANS LA NUIT - Épitaphe II
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Mes copies étaient jugées médiocres à l'université. On me renvoyait sans cesse à mon milieu d'origine (Le Prolétariat) et j'étais le seul à ne pas provenir d'une filière littéraire mais scientifique...
Bref mes copies étaient médiocres et on me le faisait savoir. On peut parler de petits fils de profs ou d'inspecteurs académiques qu'une certaine inquisitrice sans grand talent encense. La vérité c'est qu'aujourd'hui, les petits cons qui enseignent dans les universités, les agrégés qui ont bien appris à faire les singes et les mimes, peuvent me regarder envieux... Et ils ont raison. Mes écritures servent. Je ne publie pas de livre mais je fournis en "armes miraculeuses" tous mes camarades...
Je m'en fiche bien de débattre, je suis venu distribuer les coups de marteau au nom des bêtes, des morts et des enfants qui naîtront après vos conneries.
Ici s'achèvent les écrits satellites à Baigi,Baipu. Pour ceux qui sont morts en route - quelle chance - ou ceux qui suivent, ce sera surtout sur le blog.
Mais je vous le dis une bonne fois pour toutes: TOUS LES TEMPLES VONT BRÛLER. Cela fait déjà plus d'une décade que le loup se sait dans une bergerie...
Et vos écoles ou universités ne sont rien d'autres que des temples, à nos yeux...
Vous croyez m'empêcher avec des lettres ou des idées? Tout est déjà fait. 90% de mon travail, écriture, conceptualisation sont souterrains.
Je le dis pour les pleutres et les médiocres qui ont mal parlé de nos morts: Priez qu'il n'y aie rien. Sur toutes les flammes de l'enfer de mon cœur. JE M'OCCUPERAI DE VOUS, MILLE ANS S'IL LE FAUT. Et je m'en vais de ce pas payer mon maître pour vos cauchemars. Oui pour une tape sur l'épaule, ce sont cent pierres que l'on reçoit. Mais je n'suis qu'un golem d'acier. Vous n'atteindrez plus jamais ma chair. Le prochain "recueil" s'appellera TRACT DANS LA NUIT.
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HAINE.
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Ô je les vois déjà me juger et me tartiner de leur moralité la gueule pour aimer mon frère ou pour une citation...
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Un autre qui a tout mon amour disait:
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Les morts sur nos épaules ne sont pas un poids, ils nous élèvent.
Nous, élèves: j'ai plus appris des vapeurs de goudron du toit de la fac par grand soleil que dans tous ses amphis réunis. Et Il était là.
Il était ton ami(s), ton frère, ton cœur. Le tiens bat!
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