- 3 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 5 favoris
- 6 contacts
Ses favoris
-
Tout arrêter pour les arrêter
Prolongeant le mouvement des « gilets jaunes », la mobilisation contre la réforme des retraites porte un enjeu politique qui va au-delà de ses revendications sociales : la victoire ou la défaite d’un libéralisme autoritaire associant État policier, démocratie faible et marché sauvage.
-
Nous ne renoncerons à rien
Devant la catastrophe écologique, de plus en plus d’écologistes de salon appellent à renoncer : renoncer à prendre l’avion, renoncer à la viande, etc. Cette écologie du renoncement ressemble un peu trop à de la résignation. Au fond, on ne renonce qu’à ce qu’on aime ; mais aime-t-on vraiment ce monde et le « mode de vie » qu’il nous impose ? -
Bêtisier d'Europacity, ch 7. Transports : mobilité obligée ou déplacements évités ?
Dans des espaces dissociés (pôles d'emplois sans habitants, d'habitats sans emplois) on prétend recoudre la fracture territoriale par des transports inutiles, aggravant la situation sans la résoudre (faible mobilité des actifs, galère des réseaux saturés, pollutions)... Florilège d'idées reçues et contre-vérités, voulant justifier une politique obsolète, exprimée par la révolte des gilets jaunes. -
«Gilets jaunes»: la violence du pouvoir attise la violence du pays
Une œuvre de l'artiste Pascal Boyart, alias PBOY, en hommage aux « gilets jaunes » sur les murs de Paris, le 7 janvier. © Reuters
Le premier ministre a annoncé, lundi 7 janvier, une aggravation de l’arsenal sécuritaire avec notamment une loi contre les casseurs et les manifestations non déclarées, ainsi qu’un ciblage préventif de manifestants supposés violents. Sans un mot sur les violences policières, ce choix répressif tourne le dos aux exigences démocratiques confusément portées par les gilets jaunes.
-
A Marseille, paroles de délogés: «On dirait que nous sommes porteurs d’une épidémie»
Marie-Eugénie, délogée le 26 mars, a dessiné sur un schéma l’ensemble des démarches réalisées la semaine suivant son évacuation. © LF
Six mois après la mort de huit personnes dans l’effondrement de deux immeubles à Marseille, la réponse des pouvoirs publics n’est pas à la hauteur du drame, qui a révélé une profonde crise du logement. Paroles de délogés.