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Le blog de edmond.harle
À propos du blog
Militant syndical pendant 50 ans, je pense qu'il faut que les syndicats, confortés par le mobilisations de cette année, reprennent la main et inversent les choses vis à vis du pouvoir. Depuis 30 ans,1…
divisés, les syndicats vont négocier les propositions antisociales des gouvernants. Il faut revenir à une bonne pratique : définir en intersyndicale des revendications et aller les négocier avec le pouvoir sur la base de ces revendications pour des progrès sociaux et non des régressions.
Il faut aussi un débouché politique aux revendications syndicales et donc une gauche unie et fidèle à ses valeurs.
Le fil rouge de ma vie est le progrès social.
Je pense que sans progrès social il n'y a pas de démocratie possible et aujourd'hui, la régression sociale s'accompagne de la régression de la vie démocratique du pays par Macron et la montée de l'extrême droite.
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MACRON-DARMANIN : L’INEXORABLE DÉRIVE
Pour éviter la révolte contre sa politique, Macron désigne des boucs émissaires faciles est le différent, l'étranger ou le plus pauvre que soi. Il a inventé une expression révélatrice, « un pognon de dingue » pour désigner la solidarité. -
LA RÉVOLUTION DE L’AUMÔNE
Macron fait une véritable révolution revenant aux pratiques moyenâgeuses. Après l’aumône d’État, il invente l’aumône des grandes entreprises capitalistes. Il substitue l’aumône à la solidarité organique. Celle-ci, véritable révolution sociale, avait remplacé l’aumône et la charité grâce à 2 ressources, l’impôt et les cotisations sociales. -
MONDE D’HIER ET MONDE D’AUJOURD’HUI
Ce 7 mai marque la rencontre de deux mondes. Le matin, autour de Macron le monde d’hier. L’après-midi, le monde de demain. La gauche renoue avec la volonté politique, la conviction que la politique doit, plus que gérer le quotidien, changer la vie, améliorer la vie des humains et assurer l’avenir de l’humanité et donc de la planète. -
POUR QUE VIVE L’ARBRE DU PROGRES. Supplique aux candidats.
Au fond de mon tombeau je ne voudrais pas regarder cet arbre du Progrès social mort par l’égo de femmes et d’hommes qui pourtant se disent grands arboriculteurs pour l’arbre du Progrès. Demain, je ne veux pas que les ténèbres fascistes recouvrent de nouveau l’Europe, que mes parents et grands-parents regardent du tombeau renaître les horreurs qu’ils ont terrassées au risque de leur vie. -
MACRON : DE LA SOLIDARITÉ ORGANIQUE À L’AUMONE DÉTAT.
Les 100 euros par-ci, les primes par-là, toujours à quelques-uns, renvoient la solidarité non au XIXème siècle mais au Moyen-Âge, simplement, Macron substitue l’État à l’Église pour pratiquer une charité minimale. -
UN CONTRAT SOCIAL DÉTRUIT - 1, Le cas français
Le contrat social a été rompu par les plus riches avec la complicité des états et des classes politiques de droite et de gauche de gouvernement. Quelques chiffrent expliquent cette perte totale de confiance des classes populaires et des salariés dans leurs dirigeants et leur propos. -
Propositions pour un nouveau contrat social
Pour la gauche, la seule stratégie qui vaille est la mise en débat de solutions pour une France, une Europe et un monde pacifiques, plus humains, plus justes, Il s’agit de redonner aux humains la confiance dans l’action politique et collective et l’espérance d’une vie meilleure, sur une planète protégée, conditions indispensables à la paix et à la démocratie. -
LA DICTATURE MILITAIRE ET LE FASCISME MENACENT S’IL N’Y A PAS DE PROGRÈS SOCIAL
Si les gouvernants européens continuent leur politique de régression sociale, le danger est grave et peut même être imminent de voir triompher les fascistes d’aujourd’hui qui ne valent pas mieux que ceux d’hier. Sans l'espérance de vivre mieux demain il n’y a pas d’adhésion populaire au contrat social et donc pas de démocratie possible -
LE PROGRÈS, AVENIR DU FUTUR
Vive le progrès, mais un progrès au service des humains et non du profit d’une petite minorité. Un progrès orienté vers la satisfaction des besoins des humains et non vers la quête de richesse et de domination de quelques-uns. Face à l’internationale de la finance, créons l’international du progrès humain, social et démocratique. -
2020 : PEUR ET CAUCHEMAR
Qui aurait pensé que le peuple d’irréductibles gaulois se soumettrait sans rien dire, sans se révolter ? Tout cela a été possible en générant la peur. Macron n’a pas utilisé le mot guerre par hasard. Il connote la nécessité de sacrifices, de renoncements, de souffrances, mais aussi de culte du chef, de soumission au commandant en chef qui envoie ses hommes et ses femmes à l’abattoir.