HONTE A CEUX QUI SE RECONAITRONS

Liberté d'expression menacée ?
  Lorsqu’on veut tuer son chien on l’accuse de la rage !
Censés résoudre les affaires, assurer la Sécurité des personnes et des biens, j’ai une bien belle histoire à vous raconter sur certaines pratiques utilisées par des personnes peu scrupuleuses et qui représentent un Ministère :
Un fonctionnaire de Police devenu lanceur d’alerte bien malgré lui est devenu un jour l’ennemi public numéro un du Ministère de l’intérieur.
Après avoir fondé une association loi 1901 avec d’autres de ses collègues qui s’appelait « Police/Victimes » et d’avoir dénoncé des dysfonctionnements qui entraînent ce que nous constatons ces dernières semaines voir derniers mois au travers de la presse, quelques hommes mandatés pour une mission secrète (raison d’état)… ont eux pour mission de déstabiliser cette association en question et de mettre hors d’état de nuire les fondateurs notamment et surtout son Président…
Tous les moyens auront été mis en œuvre comme des auditions administratives intempestives, appels téléphoniques à son domicile pour lui signifier de venir rapidement signer une mise à l’écart de son avancement, une baisse de notation, des disparitions de jours de congé, des demandes d’explication écrites sur des sujets anodins etc.
Même des services du renseignement intérieur l’ont contacté pour connaitre les intentions de cette association, nombre d’adhérents, montant de la cotisation et j’en passe.
Son Chef de service lui avouait même un jour que Paris et les syndicats tiraient les ficelles (comme pour se dédouaner de ce qui allait arriver).
Pendant ce temps-là, Mérah se promenait de par le monde pour ses voyages touristiques que nous connaissons sans être inquiété outre mesure. L’intérêt Politique primait sur l’intérêt National et la Sécurité de nos concitoyens…
Mais il y avait un hic ! , comment faire tomber une fois pour toute ce dangereux serviteur de l’état ?.
Le devoir de réserve qui lui était reproché n’était pas vraiment avéré puisque la loi 1901 venait enrayer les kilos de procédure mis à son encontre.
Restait une solution souvent utilisée comme dans de récentes affaires, la psychiatrisation !…
Alors, les enquêteurs n’ont pas hésité et sont allés fouiller quelques « poubelles » du passé de l’ennemi public N°1 et ont trouvé un décès, celui de sa pauvre mère en 2002.
Seulement, un simple décès naturel n’aurait pas suffi et il fallait y apporter du macabre pour étayer une psychiatrisation du personnage .
Alors ! sans aucune retenue, les grands enquêteurs de l’inspection technique de Paris ont montré tout leur savoir-faire au travers d’un scénario et du décès naturel, nous sommes passés à un suicide par pendaison et pour donner quelque chose de bien plus lugubre, on dira que ce fonctionnaire aura dépendu lui-même sa pauvre mère.
Mais un peu plus loin sur un autre procès-verbal et afin d’être sûr que l’on n’aura rien oublié, on dira aussi que finalement, c’est son père qui s’est pendu !!!
Nous sommes en plein délire digne d’un roman d’Agatha Christie….
Mais là où le bas blesse, le jour du décès naturel de la pauvre mère de l’ennemi public de Beauvau, étaient présents des OPJ de la Gendarmerie locale, un maire, un médecin et des Pompiers. En effet, la défunte ne répondait plus aux appels et ce qui déclencha la venue des services compétents.
Toutes les procédures réalisées sur place ont été du coup purement et simplement anéanties. Nos super enquêteurs du ministère, 10 ans après ont maquillé une bien douloureuse histoire comme il en existe tous les jours.
Les Gendarmes et les services de la commune auraient-ils produit des faux au travers de leur constatations et déclarations y compris celle du médecin qui à délivré le permis d’inhumer ?
Je vous laisse juge sur ces ignobles pratiques qui existent aujourd’hui et souhaitons que le Ministre de l’intérieur fasse un peu le ménage dans ses écuries…
Toute ressemblance avec des faits réels ne serait que pure et fortuite coïncidence