Citoyen actif pour le respect des citoyens de tous les pays par les responsables français, notamment comme webmestre et rédacteur du site de la commission d 'enquête citoyenne sur l'implication de la France dans le génocide des Tutsi.
Strasbourg - France
Je "retweete" ou plutôt je "remediaparte" cet article où l'officier Guillaume Ancel rappelle des faits concernant les poutinophiles français, faits qui devraient nous alerter.
L'actualité récente a rappelé la présence en France d'un présumé génocidaire, ancien chef du renseignement militaire rwandais pendant le génocide des Tutsi à cause d'une plainte qu'il a déposée pour injure. Sa présence en France et cette démarche judiciaire soulèvent beaucoup de questions.
Maria Malagardis ira au tribunal de Paris jeudi 19 janvier. Elle devra répondre d'injure à l'encontre d'Aloys Ntiwiragabo ancien chef du renseignement militaire rwandais du régime génocidaire Hutu. Theo Englebert avait découvert sa planque en 2020 et publié un article à ce sujet. Maria Malagardis a osé parler de "nazi Africain", odieux aux oreilles de quelqu'un qui se pense encore digne.
Un retraité, qui continue de travailler alors qu’il touche une allocation de retraite en-dessous du minimum vieillesse, devrait avoir ses nouvelles cotisations de retraite décomptées jusqu’à la cessation définitive de son activité. Cela lui permettrait de toucher alors un sur-complément de retraite en conséquence. C'est une question de justice.
La façon dont les médias français ont rendu compte du "rapport d'un groupe d'experts" de l'ONU sur la crise au Congo, symbolisée par le "M23" mis en exergue, est particulièrement partielle et partiale. La lecture du résumé introductif du rapport permet de s'en rendre compte. Je tente d'autre part de contextualiser ces événements et de faire sentir les oublis historiques.
Au moment où l'ONU accuse le Rwanda de soutenir le M23 qui défend les Tutsi congolais, il faut dire le climat pré-génocidaire exercé contre les Tutsi, ce que fait leur avocat Bernard Maingain. Ne serait-ce pas aussi le rôle de l'ONU de faire ce travail de prévention et de soutien à des personnes ciblées dans ce processus pré-génocidaire dans un pays où l'état de droit reste un rêve ?
Le représentant d’une société de livraison d’armes, SPAIROPS, a intenté un procès contre l'ancien officier Guillaume Ancel pour avoir rappelé son rôle au Rwanda, pendant le génocide contre les Tutsi…
A la suite du non lieu dans l'affaire de Bisesero, Survie publie une vidéo, avec un interview d'Eric Nzabihimana, premier Tutsi de Bisesero rencontré par les Français le 27 juin 1994.
Du 11 au 19 septembre, à Kigali, se tient le colloque consacré au génocide perpétré contre les Tutsis du Rwanda. Il réunit les chercheuses et chercheurs spécialistes sur le sujet.
Sous ce titre, dans un article sur son blog, Guillaume Ancel, ancien de Turquoise, conteste le bien fondé du non-lieu de la récente décision du justice dans l'affaire de Bisesero.