- suivie par 31 abonnés En chasse-patate derrière le Tour
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Haine en ligne : deux policiers condamnés pour des propos racistes sur Facebook
© Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Le groupe privé « TN Rabiot Police Officiel » réunissait 8 000 membres, pour l’essentiel policiers et gendarmes, jusqu’à ce que le site StreetPress dévoile la teneur haineuse de certains échanges en 2020. Deux fonctionnaires de police, jugés en avril pour « injures racistes » et « provocation à la haine », ont été condamnés mercredi.
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Affaire du Pont-Neuf : le policier a tué en tirant dans le dos
Dispositif policier sur le Pont-Neuf à Paris, dans la nuit du 24 au 25 avril 2022. © Photo Dursun Aydemir / Agence Anadolu via AFP
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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Deux ans après une vidéo virale, l’arrestation d’une femme enceinte arrive au tribunal
Capture d’écran de la vidéo montrant le plaquage au sol d’une femme enceinte par des agents de la sûreté ferroviaire, à Aulnay-sous-Bois en juin 2020. © DR
Jeudi, le parquet de Bobigny a requis trois mois de prison avec sursis contre Diatou M., une femme enceinte interpellée sous les yeux des usagers en gare d’Aulnay-sous-Bois, en juin 2020. Les agents de la sûreté ferroviaire mettent en cause son « comportement » ce jour-là, tandis qu’elle les accuse de violences illégitimes.
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Révélations sur la clique qui a conduit la préfecture de police à sa perdition
Paul-Antoine Tomi, Didier Lallement et Alexis Marsan.
Deux gardiens de la paix sont visés par une enquête de l’IGPN pour avoir utilisé des gaz lacrymogènes lors de la finale de la Ligue des champions. Mais qui a donné les ordres ? Alors que le Sénat a chargé jeudi le préfet Lallement et dénoncé « l’impréparation des autorités », Mediapart a enquêté sur les hommes qui commandaient le dispositif. Vidéo, sons et témoignages attestent d’un goût immodéré pour la méthode violente.
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Refus d’obtempérer et passagère tuée : le conducteur de la voiture a été mis en examen
Sonia, avec la casquette, entourée de l’avocat Ibrahim Shalabi, Amal Bentounsi et Samia El Khalfaoui lors d’une conférence de presse du collectif « Urgence contre les violences policières », le 9 juin 2022 à Paris. © Photo Pascale Pascariello / Mediapart
Soupçonné d’un refus d’obtempérer lors d’un contrôle routier à Paris qui a dégénéré, provoquant la mort d'une passagère à la suite de tirs policiers, le conducteur a été mis en examen, jeudi 9 juin, pour « tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Plus tôt dans la journée, sa sœur et son avocat ont tenu une conférence de presse.
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« Violences policières » : ces mots que le PS ne veut plus prononcer
Olivier Faure lors de la convention de la Nupes, le 7 mai 2022 à Aubervilliers. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Percutant la campagne des législatives, le drame de la rue Ordener à Paris a fait remonter à la surface les divergences à gauche sur les questions de sécurité. Le parti d’Olivier Faure a acté qu’il refusait d’employer le terme de « violences policières », jugé trop englobant.
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Sevran : la légitime défense du policier mise à mal
Capture d’écran de vidéos de témoins, tournées après le tir lorsque la camionnette de Jean-Paul Benjamin s’encastre dans d’autres véhicules, le 26 mars 2022. © Document Mediapart
Le 26 mars, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un policier a tué le conducteur d’une camionnette, Jean-Paul Benjamin, 33 ans et habitant de Sevran. Les éléments de l’enquête que Mediapart a pu consulter contredisent la thèse de la légitime défense de cet agent qui a fait feu alors que ni sa vie ni aucune autre n’étaient en danger au moment du tir.
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Massacre du 17 octobre 1961 : les preuves que le général de Gaulle savait
Le général de Gaulle, Maurice Papon (en bas à droite) et Bernard Tricot face au massacre du 17 octobre 1961. © Photo illustration Sébastien Calvet / Mediapart avec AFP
Des archives inédites de la présidence de la République, consultées par Mediapart, le prouvent désormais : Charles de Gaulle et l’Élysée ont tout su – et très vite – de ce crime d’État. Le président a même demandé par écrit que les « coupables » soient poursuivis. Mais le massacre restera à jamais impuni, judiciairement et politiquement.
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Incidents au Stade de France : le rapport Lallement embarrasse au sein même du ministère de l’intérieur
Didier Lallement, Amélie Oudéa-Castéra et Gérald Darmanin après une réunion au ministère des sports à Paris, le 30 mai 2022. © Photo Eliot Blondet / Abaca
Après la gestion chaotique et violente par les forces de l’ordre des supporters aux abords du Stade de France lors de la finale de la Ligue des champions, le ministre de l’intérieur reprend les déclarations mensongères du préfet Didier Lallement. Alors même que les images documentent la faillite des autorités dans l’organisation de la finale, plusieurs hauts fonctionnaires du ministère font part de leur embarras auprès de Mediapart.
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Rave party de Redon : un mutilé, une nuit d’horreur, les fautes du ministère de l’intérieur, et la justice qui enterre
Opérations des gendarmes la nuit du 18 au 19 juin 2021, à Redon (Ille-et-Vilaine). © DR
Le 19 juin 2021, en Bretagne, lors d’une opération menée pour interdire une rave party, Alban, 22 ans, a eu la main arrachée par une grenade tirée par les gendarmes. Le 11 mars 2022, le parquet de Rennes a classé sans suite. Pourtant, l’enquête démontre non seulement la disproportion de la force mais les responsabilités de la préfecture et du ministère de l’intérieur. Mediapart a pu consulter des SMS et des appels aux pompiers, accablants, enterrés par le procureur de la République.