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Poutine en Ukraine, la guerre au nom du genre
Vladimir Poutine pose pour une photo avec des membres du club de motards "Night Wolves" à Sébastopol, en Crimée, le 10 août 2019. © Photo Alexei Druzhinin / Sputnik / AFP
Depuis le début du conflit, le président russe a plusieurs fois dénoncé les « prétendues libertés de genre » en vogue en Occident et que l’Europe souhaiterait promouvoir en Ukraine. Une rhétorique au cœur de son engagement politique et de sa vision autoritaire du monde.
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Réfugiés ukrainiens : l’indignité derrière la solidarité
Des réfugié·es ukrainien·nes à frontière moldo-ukrainienne, le 1er mars 2022. © Photo Nikolay Doychinov / AFP
Pour justifier leur soudain élan d’humanité, certains éditorialistes et responsables politiques n’ont rien trouvé de mieux que de distinguer les bons et les mauvais réfugiés. Ils convoquent leur « ressemblance » avec les Ukrainiens, mais n’expriment rien d’autre que leur racisme.
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Omicron : un passe devenu caduc, une stratégie vaccinale à repenser
Omicron a changé le visage de l’épidémie. A minima, onze millions de Français ont été contaminés par le nouveau variant. Une infection, associée au vaccin, offre une réponse immunitaire robuste contre les formes graves. La circulation du virus, dans la population jeune et en bonne santé, fait désormais partie de la réponse sanitaire. À peine instauré, le passe vaccinal a perdu sa légitimité.
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Nouveaux vaccins, traitements… : des pistes pour protéger les plus fragiles
La queue devant une pharmacie de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). © Aline Morcillo / Hans Lucas via AFP
Avec des vaccins peu efficaces pour limiter la transmission du variant Omicron, le raz-de-marée des infections se poursuit. Si une quatrième dose est écartée, des vaccins plus adaptés et de nouveaux traitements sont attendus pour aider à protéger les plus vulnérables.
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Covid : en laissant courir Omicron, l’Europe parie sur un virus endémique
Devant le mémorial pour les victimes du Covid, à Londres, le 28 janvier 2022. © Tolga Akmen / AFP
Masques, distances, passe vaccinal, traçage des cas : un à un, les pays européens lèvent les restrictions sanitaires comme les mesures de contrôle du virus. Certains, comme le Danemark ou la France, sont pourtant touchés par une contamination massive au variant Omicron. Ils font le choix d’une immunisation collective, avec l’espoir de vivre avec un virus devenu endémique, c’est-à-dire qui circule tout au long de l’année à basse intensité.
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À l’hôpital de Saint-Denis : « On est des bonnes poires, nous les soignants ? »
Une des trois unités du service de réanimation de l'hôpital de Saint-Denis. © CCC
À l’hôpital de Saint-Denis, une baisse des malades graves du Covid semble se dessiner dans le service de réanimation. Dans cette cinquième vague, celle des non-vaccinés, le personnel soignant multiplie les heures supplémentaires, travaille parfois positif, au risque d’un épuisement général. -
Protection de l’enfance : « Ce quinquennat Macron, c’est la douche froide »
Lyes Louffok à Paris, en 2017. © Photo Elisabeth Schneider Charpentier/Hans Lucas via AFP
Ancien enfant placé, Lyes Louffok alerte depuis dix ans sur les défaillances de l’aide sociale à l’enfance. Alors que les députés doivent adopter mardi 25 janvier le projet de loi sur la protection de l’enfance, il milite pour que l’État reprenne l’ASE aux départements.
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Ehpad : quand le comité d’éthique de France TV prend le parti de Korian
Captures d’écran du documentaire « Que se passe-t-il dans les Ehpad ? » de Julie Pichot et Xavier Deleu, diffusé le 18 novembre 2020 sur France 3. © Photomontage Mediapart
Fin 2020, France 3 a diffusé un documentaire sur les morts du Covid dans les Ehpad qui a déplu au groupe privé Korian. Celui-ci a notamment saisi le comité d’éthique de France Télévisions. Une instance présidée par Christine Albanel qui a jugé « à charge » le travail, pourtant approfondi, des journalistes.
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Dans les Ehpad du groupe Orpea, des CDI introuvables
Dans une résidence Orpea du centre de la France, en 2020. © Photo Jérémie Fulleringer/ La Montagne/PhotoPQR/MaxPPP
D’après nos informations, des recrues du groupe privé de maisons de retraite doivent, en France, se contenter de signer des CDD au motif qu’il s’agirait de remplacer des salariés en CDI. Or, dans bien des cas, ces salariés n’existeraient pas. Le groupe dément toute irrégularité, assurant qu’« il n’y a jamais eu d’emploi fictif au sein de l’entreprise ».
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Au Havre, le suicide d’une infirmière révélateur tragique des maux de la santé publique
Le groupe hospitalier du Havre dans une vidéo promotionnelle de l’hôpital sur YouTube. © DR
Le tribunal administratif de Rouen a récemment condamné le groupe hospitalier du Havre après le suicide d'une infirmière survenu à l'été 2016. Au-delà du drame humain, ce jugement lève un coin du voile sur les logiques financières et managériales délétères ayant cours au sein de l'hôpital public.