La capacité qu'a O.VERAN à mentir avec un aplomb sans égal suscite l'admiration. Et nul doute que lorsqu'il aura purgé les peines qui lui seront - j'espère - infligées, une grande carrière de comique troupier s'offre à lui.
Ce document existe bien : analyse_risque_variants_20210811.pdf et on y lit en page 2 :
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Entendons nous bien, si ce document existe bien et démontre clairement qu'O.VERAN ment effrontément en disant qu'il n'existe pas, ce document seul évidemment ne démontre pas que vaccinés et non vaccinés ont le même statut de contagiosité. Suffisammant de documents «officiels » durant les trois années écoulées ont en effet affirmé des contre-vérités pour ne pas le prendre au pied de la lettre. Mais la plupart des études confirment par ailleurs cet état de fait, que quasiment plus personne - à part O.VERAN donc - ne songe aujourd'hui à contester. Une autre étude à la même époque confirmait cette probabilité, en ajoutant que sur l'échantillon étudié les vaccinés étaient de fait plus fragiles !
Les vaccinés infectés seraient aussi contagieux que les autres - REINFOCOVID copie.pdf
Quoiqu'il en soit, il sera très difficile de déterminer s'il y a une vraie différence entre les deux populations, vu que l'on a très sûrement vacciné des sujets déjà infectés qui ne le savaient pas car asymptomatiques. Et leur moindre contagiosité mesurée, attribuée à la "vaccination" pouvait être due à leur immunité naturelle. Disons simplement que les "vaccinés" peuvent être à nouveau contaminés, et donc porteurs, et donc transmetteurs. Et donc potentiellement dangereux. Ils ne devraient être valorisés que s'ils n'étaient ABSOLUMENT PAS contagieux ! Ils le sont, les non vaccinés peuvent être également, peu importe qu'il y ait ou non une différence quasiment inchiffrable entre les deux populations.
Si j'ai cité ce papier de Santé Publique France, c'est pour deux raisons : d'une part il s'agit d'un document officiel et O.VERAN (qui a été le premier à dire que la vaccination n'empêchait pas la transmission dans un argumentaire repris par le Conseil d'Etat le 1er avril 2021) ne pouvait pas ne pas en avoir eu connaissance. D'autre part sortait à la même époque une autre étude (1) signée par quatre membres du Conseil scientifique (Fontanet, Benamouzig, Cauchemez, Yazdanapah) – validée par eux seuls – affirmant que les non vaccinés étaient – excusez du peu – 12 fois plus contagieux que les vaccinés.
O.Veran avait donc deux informations, l'une émanant de santé publique France, des hopitaux de Lyon, de l'Institut Pasteur et du ministère de la santé britannique : pas de différence entre vaccinés et non vaccinés. Et une autre, qu'il suffit de lire pour comprendre qu'elle était sans valeur, basée sur de multiples hypothèses non vérifiées pour aboutir à une conclusion incontestable : les non vaccinés sont 12 fois plus dangereux. Il pouvait donc y avoir au moins un doute au vu de cet écart invraisemblable pour deux études pratiquées à la même époque, mais non, il n'y en a pas eu : on a présenté aux députés l'étude catastrophiste du Conseil "Scientifique", est la loi du pass sanitaire a été votée.
Le problème est que cette étude n'a ja mais été publiée, et ses auteurs l'ont piteusement retirée en septembre 2021 (2). Mais la loi, votée au vu de cette étude mensongère, elle, n'a pas été retirée ! Quant à la soi-disant "mise à jour" de cette étude (ce qui ne se fait JAMAIS pour une étude retirée), elle présentait les mêmes défauts, à savoir une modélisation mathématique artificielle basée sur des hypothèses gratuites sans rapport avec la réalité épidémiologique (3 ). O.Veran, le Conseil scientifique,le Pr DELFRAISSY, tous aurfaient dû reconnaître leur erreur. La réalité a été la prolongation du mensonge par la prolongation du pass sanitaire. Le Pr DELFRAISSY - quand même président de cette supposée autorité morale qu'est le Comité Consultatif National d'Ethique – reconnaîtra plus tard, en démissionnant du Conseil Scientifique, que chacun savait au Conseil Scientifique que le vote de ce pass n'avait en fait qu'un but, contraindre à la vaccination. Contraindre donc sur un mensonge d'état.
Le problème est que O.Veran et le conseil scientifique n'ont cessé de mentir, comme déjà dit dans de précédents billets :
- on ne tire pas sur une ambulance, je ne reparlerai donc pas du tragi-comique « tous vaccinés-tous protégés, » mantra répété pendant des mois à chaque heure du jour, comme si une absurdité constamment répétée pouvait se transformer en vérité...ni sur le « vaccinez-vous pour protéger les autres » aussi mensonger que cynique et culpabilisateur...
- "on ne vaccinera jamais en vaccinodrome"
- "le consentement éclairé sera exigé avant toute vaccination" (ce que recommande du reste la fiche VIDAL du Corminaty Pfizer, je cite : "La vaccination contre la COVID-19 doit être précédée d'une consultation médicale. Cette consultation permet notamment de recueillir le consentement éclairé du patient pour être vacciné".
- "les vaccins sont sûrs et sans danger" (affirmation réitérée par Jean Castex juste avant la suppression des produits à vecteur ADN juste avant leur suppression pour dangerosité) : comment alors expliquer que dans de nombreuses études cette dangerosité soit évoquée (à chacun de les rechercher, elles foisonnent, celle-ci par exemple, intéressante parce que les britanniques sont quasiment les seuls à avoir donné des statistiques sincères ...jusqu'à les occulter quand elles sont apparues trop négatives quant aux effets des "vaccins" )
52612-lechec-des-vaccins-au-royaume-uni.pdf
Mais comment s'étonner qu'il puisse y avoir des effets secondaires ? Le principe d'un vaccin (auquel j'adhère pleinement en l'état actuel de nos connaissances) est d'injecter un leurre ressemblant à l'agent agresseur, mais inactivé ou atténué, donc sans danger - ou très peu -. Alors qu'ici l'agent supposé immunisant est la protéine spike, mais une protéine spike ACTIVE, aussi dangereuse que celle du virus ! (voir les travaux publiés dès mars 2020 par Jean Marc SABATIER à la fois un des plus brillants de nos biologistes … et peut-être pour cela l'un des plus censurés ?)
- négation de la multiplication des effets secondaires signalés auprès de la ANSM (5) : 110 000 dont un quart graves pour les seuls « vaccins covid » en moins d'un an contre 45 000 en année pleine pour 13 000 médicaments !!
- menti effrontément en affirmant sans nuance que 100% des réanimés étaient non vaccinés (4) au mépris des chiffres réels démontrant que l'affirmation de protection contre les formes graves était plus que sujette à caution (5)
- menti en ayant validé les affirmations mensongères et criminelles de l'article du Lancet de Mai 2020
- menti en affirmant que les études en phase III étaient validées (corminaty Pfizer toujours en attente de validation jusqu'au 02.05.2023, groupes placebo vaccinés empêchant tout contrôle à long terme, étude Covireivac officielle abandonnée avec vaccination du groupe placebo)
- menti en affirmant que les vaccinations de masse équivalaient à une vraie phase III (sans consultation préalable, sans consentement, sans contrôle aux jours 2,7,14, 21, 28 comme l'exigent les règles !)
- menti En faisant semblant d'oublier que les laboratoires n'ont jamais rempli leurs obligations légales sur la composition des métabolites résultant de l'injection (6)
ETC ETC ETC
Aucune des références que je cite ne peut évidemment avoir valeur de preuve . Mais elles s'accompagnent de multitudes d'autres allant dans le même sens ; Elles auraient donc dû donner lieu, en bonne démarche scientifique, à débat et à discussion, là où s'ajoutant aux mensonges d'état ci- dessus mentionnés – ce qui n'est pas neutre et génère forcément la suspicion – là où donc les critiques n'ont eu droit qu'à la moquerie, la diffamation, la mise à l'écart, la censure, la discrimination, voire la criminalisation. (7)
De nombreuses études concluent en effet, contrairement à ce que j'écris, que les non vaccinés sont plus fragiles, plus souvent malades et hospitalisés. Elles oublient cependant de mentionner qu'elles incluent sans vergogne dans les non vaccinés (ceux qui ont en conscience décidé de ne subir aucune injection) les vaccinés incomplets ayant reçu une, deux ou trois doses, et les 14 jours ayant suivi les injections !!!)
Alors concernant les soignants suspendus de toutes catégories (médecins, chirurgiens, psychologues, infirmières, kinésithérapeutes, dentistes, sapeurs pompiers, etc, tous se reconnaîtront), il s'agit à l'évidence d'un scandale total, à la fois sanitaire par la perte de leur compétence et de leur présence en cette période de manque de personnel soignant, mais aussi démocratique, épidémiologique. Et social, condamnant sans la moindre raison scientifique ces pestiférés à la perte à la fois de leur statut, de leur fonction et de leur gagne-pain, leur interdisant par ailleurs (pour quelle raison ??) toute autre possibilité de bénéficier du moindre revenu de remplacement.
Leur réintégration sans condition, avec effet rétroactif pour les salaires qui leur ont été volés est donc une nécessité absolue. En attendant que s'installe de façon indépendante un audit sur l'ensemble de la gestion « covid », qu'il s'agisse de la part médicale évoquée ici, comme de la part économico-politique.
Dernière réflexion : j'écrivais dans un de mes premiers posts que je comprenais que les labos se comportent comme des voyous, ce qu'ils sont comme le montrent leurs condamnations précédentes en particulier pour Pfizer – et que je peux confirmer pour les avoir cotoyé durant des décennies- . Je comprenais aussi que certains médecins gavés de conflits d'intérêt pouvaient oublier toute éthique en défendant la propagande des laboratoires. Je n'ai jamais compris par contre que l'ensemble du corps médical de base – supposé faire preuve d'un certain esprit critique et de libre-arbitre – ait accepté sans barguigner d'être interdit de délivrer des soins ou de vacciner des tranches dâge non concernées par la maladie et sans aucun bénéfice pour les autres (enfants, adolescents, femmes enceintges surtout en l'absence de toute étude de toxicité ou de tératogénicité : interdite en Grande Bretagne, et déconseillée par Pfizer ! : "Les données sur les effets de cette vaccination chez la femme enceinte ou qui allaite sont encore limitées"). Il faut dire que vacciner en vaccinodromes à l'abattage n'était pas mal payé (840 euros pour un jour férié -3360 euros pour 4 samedis entiers) pour les médecins
je vois dans cette démission si ce n'est globale du moins importante le fait que nos toubibs sont aujourd'hui formatés aux protocoles, sommés d'y obéir, voire récompensés financièrement s'ils appliquent, qu'ils y croient ou pas, dans le cadre du ROSP (8) (rémunération sur objectif). Le médecin devient alors un opérateur qui sera bientôt aux ordres de l'Intelligence Artificielle. Plus besoin de 10 ans d'étude, plus besoin d'intuition, d'expérience, d'écoute ou d'examen : tous à la prise de sang, au scanner et à l'IRM, l'ordonnance sortira seule. Si c'est la médecine dont vous rêvez, libre à vous. Mais ce n'est pas la mienne
Frédéric PIC
Pau
3/ importantes-limites-scientifiques-de-la-modelisation-utilisee-pour-justifier-les-mesures-du-12-juillet-2021.pdf
5/ La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique - REINFOCOVID.pdf
6/ https://crowdbunker.com/v/HbaBAASN
7/ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8604656/
Traduction de
The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing...
G.KAMPF, The LANCET, étude juillet-octobre 21
On s'attendait à ce que des taux élevés de vaccination contre la COVID-19 réduisent la transmission du SRAS-CoV-2 dans les populations en réduisant le nombre de sources possibles de transmission et réduisent ainsi le fardeau de la maladie à COVID-19. Des données récentes indiquent cependant que la pertinence épidémiologique des personnes vaccinées contre la COVID-19 augmente. Au Royaume-Uni, il a été décrit que les taux d'attaques secondaires parmi les contacts familiaux exposés à des cas index entièrement vaccinés étaient similaires à ceux des contacts familiaux exposés à des cas index non vaccinés (25 % pour les vaccinés contre 23 % pour les non vaccinés). 12 des 31 infections chez les contacts familiaux entièrement vaccinés (39 %) provenaient de cas index épidémiologiquement liés entièrement vaccinés. La charge virale maximale ne différait pas selon le statut vaccinal ou le type de variant [[1]]. En Allemagne, le taux de cas symptomatiques de COVID-19 parmi les personnes entièrement vaccinées (« infections percées ») est signalé chaque semaine depuis le 21 juillet 2021 et était de 16,9 % à cette époque chez les patients de 60 ans et plus [[2]]. Cette proportion augmente de semaine en semaine et était de 58,9 % le 27 octobre 2021 (Figure 1) fournissant une preuve claire de la pertinence croissante des personnes complètement vaccinées comme source possible de transmission. Une situation similaire a été décrite pour le Royaume-Uni. Entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89.821 sont survenus parmi les complètement vaccinés (89,7%), 3.395 parmi les non vaccinés (3,4%) [[3]]. Une semaine auparavant, le taux de cas de COVID-19 pour 100 000 était plus élevé dans le sous-groupe des vaccinés que dans le sous-groupe des non vaccinés dans tous les groupes d'âge de 30 ans ou plus. En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez l'ensemble des personnes exposées (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne [[4]]. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis identifient quatre des cinq premiers comtés ayant le pourcentage le plus élevé de population entièrement vaccinée (99,9 à 84,3 %) comme des comtés à transmission « élevée » [[5]]. De nombreux décideurs supposent que les vaccinés peuvent être exclus comme source de transmission. Ignorer la population vaccinée en tant que source de transmission possible et pertinente au moment de décider des mesures de contrôle de santé publique semble être une négligence grave.
8/ https://crowdbunker.com/v/zGM63pTV