Je me demandais sur un précédent billet si la planète entière était devenue folle, et répondais « peut-être bien », tout en m'interrogeant sur les raisons – inexplicables à priori – d'un tel dérèglement. Réflexion faite, le délire politico-sanitaire que nous vivons s'est essentiellement emparé des pays riches, épargnant les pays pauvres qui n'avaient pas les moyens de se payer l'erreur tragique du tout-vaccin, l'égoïsme des pays riches s'avérant ici une bénédiction qui les verra s'en sortir bien mieux que nous.
L'analyse toutefois nous contraint de penser que cette séquence ne résulte pas de simples erreurs de jugement, voire d'une peur irraisonnée que l'on aurait pu admettre, car trop de mensonges, trop de coups fourrés obligatoirement calculés jalonnent son déroulé. Et si l'État – ou ceux qui l'ont confisqué – et ceux qui les conseillent ne sont pas responsable de tout, nous nous devons de souligner leurs errements présents ou passés et nous opposer à leurs actes les plus nuisibles. Revue de détail, obligatoirement et malheureusement un peu longue
WUHAN, l'OMS and Co
La sortie accidentelle du laboratoire de Wuhan d'un banal virus sras génétiquement « augmenté » et rendu pathogène … pour mieux apprendre à le contrôler ( ! ) a été une aubaine pour certains. En particulier pour l'association Pfizer- Biontech qui travaillait déjà sur un projet de vaccin à ARN messager … contre la grippe. (*1 et *2) . Ce laboratoire P4 a été coconstruit par la France et la Chine qui a par la suite outrepassé ses objectifs contractuels initiaux, en sous-traitant pour l'ONG texaneEco Health Alliance (*3). Merci à tout ce beau monde de nous avoir permis de vivre en VO cette exaltante séquence en tant qu'animaux de laboratoire.
Ce qui devrait nous interroger sur la façon dont nous devrions à l'avenir surveiller, ici et ailleurs, l'activité frénétique de certains Docteurs Folamour...
La première panique, honteuse, des chinois cherchant à masquer leurs erreurs... à la chinoise, par le redoutable confinement de sa population s'est ensuite emparé par mimétisme de tous, à commencer par une OMS sous influence de maniaques des vaccins, qu'ils soient idéologues, bien connus, ou pragmatiques, je veux parler des laboratoires pharmaceutiques qui ont tiré de cette opportunité tous les avantages possibles et au-delà, employant avec un cynisme consommé tous les moyens – qui sont gigantesques, financiers en particulier, à leur disposition.
Ce qui devrait nous interroger sur l'impact incontrôlable qu'ont sur nous des puissances financières que l'on a laissé prospérer sans méfiance...et comment y remédier
BIG PHARMA
Vient donc la séquence de Big Pharma. Pas question pour elle de laisser la moindre place à une alternative qui ne serait pas la leur. Ils ont donc commencé par faire jouer leurs relais médicaux sous influence. Ceux-ci sont si empêtrés dans les conflits d'intérêt – et depuis si longtemps – qu'ils n'y ont même pas vu quel était le problème : en attendant les OGM pseudo vaccins, ils ont ardemment participé à la promotion de traitements aussi coûteux que nuisibles, à coup de déclarations et de publications forcément géniales puisque novatrices - et accessoirement susceptibles d'asseoir carrières et notoriété -. Mais leur auto-promotion supposait de dénigrer sans pitié, pour les tout-sachants qu'ils étaient, le vulgum pecus de la médecine. Exit donc le protocole RAOULT, mais surtout interdiction faite aux médecins de terrain de faire leur métier. Rendons toutefois justice aux petites mains des hôpitaux qui ont très vite su s'adapter et traiter les formes graves que l'abandon tragique des premiers soins de médecine ambulatoire leur déversait en surnombre.
Ce qui devrait nous interroger sur une nouvelle organisation des hôpitaux publics et d'une indépendance que la recherche ne saurait obtenir que par un financement adéquat
LA CONTRAINTE IMPOSÉE PAR UN POUVOIR BUNKÉRISÉ
Le pouvoir a par malheur écouté et consolidé – première faute inexcusable - ces sirènes nuisibles, non pas tant par le confinement décrété dans un contexte de panique excusable que par l'interdiction faite aux médecins de prescrire et soigner (reportons-nous aux premières directives de la DGS : « il n'y a pas de traitement spécifique » et l'essentiel doit se limiter à une surveillance de préférence par téléphone - de mesures d'hygiène et de prise de température) tandis que le dramatique « restez chez vous sous doliprane et n'appelez le 15 que si vous allez très mal » a laissé mourir sans soins au minimum des milliers de patients, tant du fait du covid que de pathologies annexes.
L'autre faute inexcusable, c'est que ces décisions ont été prises par un « Conseil de Défense » aux objectifs dévoyés, totalement opaque, verrouillé, sans compte-rendus, en fait à terme par une poignée d'individus, pour ne pas dire un seul, le président. Puis surtout qu'elles se sont intégrées dans un processus de contrainte, de défiance, de tracasseries administratives et de sanctions d'autant plus insupportable qu'aucune cohérence, aucun embryon de justification ni d'explication médicale ne pouvait venir étayer des directives dont l'irrationnel et les contradictions semblait être la seule caractéristique. Quant à la création de postes ou à l'amélioration des conditions de travail des soignants, le bilan est simple : 19 milliards d'aides non pérennes pour l'hôpital contre 740 milliards mobilisés sans le moindre contrôle pour les entreprises (*5), qui s'ajoutent aux 150 milliards d'aides annuels. Même si tout ne sera pas effectivement dépensé (prêts garantis) ça fait quand même beaucoup...
Ce qui devrait nous interroger sur nos institutions et à réfléchir à ne pas laisser n'importe qui avoir tout pouvoir sur nous
LE LANCET
Mais retenons bien cette date : le 22 mai 2020, la prestigieuse revue « Le Lancet » publie un article signé de 4 auteurs : Sapan DESAI, chirurgien semble-t-il, écarté par plusieurs hôpitaux, poursuivi pour faute professionnelle, Amit PATEL, chirurgien cardiaque et beau-frère du précédent, Mandeep MEHRA, directeur médical du centre cardiaque et vasculaire de l’hôpital de Boston et Frank RUSCHITZKA du service de cardiologie de l'hôpital universitaire de Zurich. Cet article « révélait » que l'hydroxychloroquine (HOHC) s'avérait dangereuse avec une augmentation conséquente du risque de décès en cas d'utilisation de ce traitement antipaludéen chez des patients atteints par la Covid-19, Une campagne mondiale de diffusion de cet article est organisée, on en connait les suites : l'OMS suspend la prescription de ce produit, tous les essais internationaux en cours sont suspendus (Discovery, Solidarity, Recovery, Hycovid, etc..) Exit l'HOHC.
N'importe quel médecin pouvait voir (ou vérifier sur son Vidal s'il était ignorant) qu'il s'agissait d'une information totalement fausse, et à l'évidence crapuleuse, lancée dans le seul et évident but de faire tomber un concurrent potentiel aux visées déjà programmées des laboratoires pharmaceutiques. Alors certes le 4 juin l'article est retiré, les auteurs font leurs plus plates excuses, le directeur du journal (dont le travail est de vérifier la véracité des études) se dit floué. Mais le mal est fait, aucune des études officielles ne sera reprise. Et même si de nombreuses publications sont venues ultérieurement confirmer l'utilité du protocole RAOULT en début d'évolution du covid, l'opprobre est définitivement jeté sur cette opportunité thérapeutique.
Mais le pire est du fait du ministre VERAN : il interdit l'autorisation de prescription du produit aussitôt après l'article, mais ne lève pas l'interdiction après que l'article soit retiré : en clair, il valide l'article crapuleux, confirme son incompétence en matière médicale et se fait le complice actif de cet article complotiste.
Ce qui devrait nous interroger sur l'utilité de conserver au poste de Ministre de la santé un médecin incompétent et complotiste
Quant aux journalistes, qu'ils soient des médias généralistes ou de la presse médicale, cet épisode les a laissés de marbre. Alors qu'il y aurait dû avoir un tollé général, une levée de boucliers sans précédent, une attaque en règle contre à la fois cette presse médicale, les commanditaires de l'article à qui profitait ce crime et les quatre auteurs, silence total. À ma connaissance un seul intellectuel, l'écrivain-éditeur suisse Slobodan Despot (qui ne l'est pas du tout apparemment !) a osé poser une question sous forme de lettre ouverte à l'un des auteurs de l'article, le cardiologue Frank RUSCHITZKA, qui s'est empressé de ne pas y répondre (*4)
Ce qui devrait nous interroger sur l'influence de la finance sur la presse et sur l'anesthésie de nos supposées élites intellectuelles
DES AMM BIEN IMPRUDENTES
Tout traitement hors services d'urgence ou réanimation ayant été interdits, le pays entier a été maintenu en vol stationnaire sous la promesse de l'arrivée miraculeuse de vaccins novateurs donc forcément géniaux, inventés et réalisés en un temps record par des start-up dont l'inventivité et l'adaptabilité dépassaient l'entendement. Pas un mot sur les aides publiques plus que conséquentes, ni sur l'opacité des contrats accordant une manne financière jamais vue à des laboratoires exonérés par avance de toute responsabilité en cas d'effets secondaires.
Au vu des premiers résultats triomphalement annoncés : 95% d'efficacité (une telle efficacité n'existe tout simplement pas en médecine), il était aisé de comprendre pour ceux qui comme moi ont côtoyé les laboratoires pendant des décennies, qu'il y avait forcément tricherie. La routine, ces essais commandés et contrôlés par eux-mêmes n'étant que l'encart publicitaire des labos qui peuvent les trafiquer à volonté. D'autant que le Vidal indiquait que cette efficacité ne concernait « que les formes symptomatiques légères à modérées » tandis que « Par contre, les résultats présentés ne peuvent pas confirmer l’efficacité de ce vaccin contre les formes graves de COVID-19, ni contre les formes asymptomatiques, ni chez les personnes de plus de 75 ans. »(*6) Sans commentaires.
UN TRÈS MAUVAIS RAPPORT BÉNÉFICE-RISQUE
Mais que dire de l'analyse présentée par le laboratoire Pfizer lui-même pour ses résultats à 6 mois (*7) qui annonce un décès de plus dans le groupe vaccin par rapport au groupe placebo ?. Inutile de rappeler que le même labo a définitivement rendu impossible toute analyse des effets secondaires à long terme en vaccinant à la fin de l'étude le groupe placebo, interdisant ainsi toute comparaison à venir. Et ne soyons pas cruels, ne rappelons pas que 3 de ces 4 « vaccins » géniaux ont déjà été mis sur la touche de façon totale ou partielle.
Enfin un rapide calcul révèle que l'année 2020 sans vaccins a « fait » 6300 morts par mois attribués au virus (et ce chiffre est à l'évidence surévalué, la quasi totalité des décès survenus en ehpad ayant été comptabilisés « covid") . Compte tenu du temps à obtenir une couverture vaccinale correcte, on aurait pu raisonnablement espérer une réduction des 2/3 des décès imputables, qui n'auraient pas dû dépasser les 2000. Or nous en sommes à 5000 par mois. Sans commentaires.
Mais au-delà de la mise en pièces de cette fausse évidence d'une efficacité jamais démentie sur les formes graves de nombreux effets secondaires apparaissent (*8) et touchent en quantité les enfants et surtout les adolescents, pour lesquels le rapport bénéfice-risque est carrément inversé et devrait faire interdire la vaccination. Compte tenu de ce que l'on sait des risques inhérents aux rappels rapprochés (*9) et à la toxicité propre de la protéine Spike que l'ARNm injecté nous fait fabriquer (*10), il n'est pas interdit de penser qu'un nombre non négligeable des décès actuels sont liés non au virus, mais à la vaccination.
Ce qui devrait nous interroger sur le matraquage propagandiste imposé par le pouvoir, et le pourquoi de son acceptation quasi hypnotique par (presque) tous (*11)
UN FIASCO VIRANT AU TRAGI-COMIQUE
Qui pourrait encore défendre la pertinence d'une politique vaccinale imposant une 4ème dose dans la même année, laquelle n'empêcherait ni le maintien de toutes les précautions d'hygiène ni des tests supplémentaires de contrôle, en sus ? Qui accepterait un pass vaccinal d'une part illégal car réalisant une obligation vaccinale de fait et générateur de l'absurdité potentielle (une de plus ou de moins …) de la présence dans un même lieu sanctuarisé d'un vacciné contaminant tout à fait possible mais dont l'accès serait interdit à un testé négatif non contaminant de façon absolument certaine ?
On voit bien que les palinodies du pouvoir (j'ouvre, je ferme, je rentrouve, dedans, dehors, debout, assis (pourquoi pas couché?), je diminue la jauge, ou plutôt non je l'augmente mais pas partout, etc..) ne font que masquer la nécessité de donner l'impression de faire tout en sachant qu'on ne fait rien d'autre que de s'enferrer dans des erreurs et des mensonges dont on ne peut se dépêtrer.
D'autant qu'après le premier mensonge d'Etat (se vacciner protège les autres) le dernier faisant passer des « positifs » (avec nombre de faux positifs dûs aux cycles excessifs d'amplification) pour des « contaminés » et donc de nouveaux malades – alors qu'il s'agit à 95% de sujets peut-être porteurs mais en parfaite santé – se retourne contre lui : ayant cherché à provoquer par ces chiffres la panique, il est contraint de recommander l'isolement strict de ces pseudo-malades et de leurs contacts (avec un Rzéro jugé affolant) ce qui devrait rapidement conduire à l'isolement de tous ou presque ! Sauf à aménager cet isolement, et donc à se dédire.
Quant au Pr FISHER, notre Monsieur vaccino-maniaque (il est à l'origine des 11 vaccins obligatoires à la naissance dont l'utilité de certains est plus que discutable) qui ne savait pas que l'ARNm pouvait persister suffisamment pour pouvoir entrainer une recombinaison avec l'ARN d'un autre virus de passage (avec possible création d'une nouvelle pandémie), qui ne savait pas non plus que la protéine Spike peut passer dans le sang et y persister suffisamment pour créer des désordres de type orage cytokinique par emballement du système rénine-angiotensine, et qui enfin justifie une multiplication mortifère des doses - y compris de façon expérimentale en mélangeant des « vaccins » différents - au seul constat d'une réduction des anticorps en oubliant la possible persistance d'une immunité cellulaire, ce Pr FISHER devrait avoirdu mal à ne pas donner très vite sa démission.
Ne parlons pas d'OMicron, si dévastateur que malgré sa résistance aux vaccins ARN il semble avoir du mal à s'avérer réellement pathogène. Ce qui entraine des interview pathétiques de médecins justifiant d'une part qu'il fdaut impérativement le combattre alors qu'il ne provoque apparemment aucun dommage, et d'autre part à l'aide d'une n!ème injection d'un vaccin qui ne lui fait ni chaud ni froid.(voir mon précédent post : https://blogs.mediapart.fr/frederic-pic/blog/161221/omicron-un-mort-peut-mieux-faire. Espérons toutefois qu'il n'ait pas la mauvaise idée de s'attaquer davantage que les autres variants aux enfants ...
ce qui devrait nous interroger sur la confiance aveugle à accorder à une caste d'experts auto-proclamés
ALORS QUE FAIRE
D'abord recouvrer notre esprit critique, le goût de la controverse, la nécessité du doute. Et surtout, face à la cacophonie et à l'absurde des décisions du pouvoir, retrouver du bon sens.
Le bon sens ? Face à une maladie qui ne touche, compte tenu de notre immunité croisée avec d'autres sras antérieurs, que peu d'entre nous et qui n'en tue que moins de 1% de ceux qu'elle affecte, parmi les plus âgés déjà très malades, nous proposons :
- comme devant toute maladie, de ré-autoriser les médecins de ville à oser faire leur métier dont on les a privés depuis bientôt deux ans, à savoir traiter. Il existe de nombreux traitements efficaces en début d'évolution, prescrivons-les. Des milliers de patients, voire davantage, sont décédés, isolés, reclus, du défaut de ces inestimables soins initiaux . C'est absolument capital et urgent
- vacciner raisonnablement les plus fragiles qui le désirent après in formation claire et complète sur les avantages et inconvénients. En se souvenant que l'immunité naturelle est bien meilleure que l'immunité vaccinale et non l'inverse (encore un mensonge d'Etat..)
- cesser de stigmatiser le choix des non vaccinés qui ne sont responsables ni de la survenue du virus ni des errements ci-dessus décrits
- comme l'on ne peut isoler tout le monde, n'isoler personne. En finir avec les tests et les pass quels qu'ils soient, et laisser revivre normalement l'immense majorité des français qui ne sont en rien concernés par cette maladie dont l'importance a été de toute évidence plus que surestimée.
- surtout, arrêter de faire violence aux enfants et adolescents, qui ont à ce jour plus de risques statistiques de se suicider du fait des contraintes que du virus. Et quand je vois que l'on interdit à des athlètes qui sont des quasi-surhommes (ou femmes!) en superforme de pratiquer sous prétexte d'un test qui ne veut strictement rien dire, je me demande – ou plutôt non je suis sûr – que nous sommes tous devenus fous
- Et donc surtout RÉSISTER, ne pas accepter les diktats honteux que l'on veut nous imposer, MANIFESTER. Et si cela ne suffit pas, organiser une résistance civile passive à grande échelle, BOYCOTTER à la fois les interdits, les injonctions absurdes tout en dénonçant le tout répressif là où le consensus aurait dû s'imposer
Frédéric PIC
PAU
Médecin spécialiste retraité
1) dans « Crise pandémique : Dangers et opportunités d'innovations » (Dimitri Uzunidis) : projet initié en 2018, Pfizer versant à cette occasion 425 millions de dollars à son associé
2) en 2013 Biontech a embauché Katalyn Kariko, qui a découvert un an plus tôt le moyen d'éviter le rejet par l'organisme de l'ARNm
3) L'ONG EcoHealth Alliance dans le collimateur du NIH (france soir, 02/06/21)
5) https://www.mediapart.fr/journal/economie/011221/une-commission-d-enquete-pour-lever-le-mystere-des-aides-publiques-au-secteur-prive
6) Vaccin Pfizer/BioNTech contre la COVID19 / enfin des données à analyser !.pdf
7) https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/suivi-essai-clinique-pfizer-six-mois
8) pour les curieux, aller sur les sites de l'ANSM (France) CDC USA analysés par Christine COTTON, ou voir les vidéos du Conseil Scientifique Indépendant crowdbunker.com/@csi : 35 vidéos, environ 760 heures d'information … pour qui en veut vraiment
9)https://infodujour.fr/societe/51630-covid-19-limites-des-vaccins-et-gros-risques-des-rappels
10)51836-memento-covid-19-petite-revision-avant-la-rentree.pdf . JM SABATIER avait déjà tout expliqué en 2020 dans cet article : SARS-CoV-2 & Covid-19: Key-Roles of the ‘Renin-Angiotensin’ System / Vitamin D Impacting Drug and Vaccine Developments
11) https://qg.media/2021/08/30/tribune-a-t-on-encore-le-droit-dexercer-son-esprit-critique-en-france/