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Visé par des plaintes pour viol, un gynécologue invité à un congrès est contraint de renoncer
Dans les couloirs de l’hôpital Tenon à Paris. © Photo Fred Dufour / AFP
Visé par de nombreuses plaintes pour viols ou violences, le professeur Émile Daraï exerce toujours à l’hôpital Tenon à Paris. Il était invité à s’exprimer au congrès annuel de la gynécologie. Sous la pression, il a finalement renoncé.
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Bilan Macron. L’égalité femmes-hommes, la « grande cause » devenue toute petite
Lors de la photo du premier gouvernement d’Edouard Philippe au Palais de l’Elysée, le 18 mai 2017. © Photo Phlippe Wojazer / Pool / AFP
En 2017, Emmanuel Macron a été élu avec la promesse de s’attaquer en profondeur aux inégalités de genre et aux violences sexistes. Mais les mesures prises se sont fracassées sur le manque de moyens et la composition du gouvernement.
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Le député Benoît Simian visé par une nouvelle enquête
Benoît Simian à l’Assemblée nationale, le 15 octobre 2019. © Photo Christophe Archambault / AFP
Déjà renvoyé devant le tribunal pour des soupçons de harcèlement sur son ex-femme, le parlementaire (ex-LREM) fait l’objet d’une seconde enquête judiciaire, a appris Mediapart. En cause : le comportement de l’élu envers l’une de ses collaboratrices.
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Au journal « 20 Minutes », « un cas d’école » de la discrimination en raison du handicap
© Illustration Sébastien Calvet / Mediapart
Un journaliste du quotidien gratuit attaque son employeur pour « harcèlement moral » et « discrimination ». Une enquête de l’Inspection du travail épingle sévèrement l’entreprise, qui « conteste fermement ».
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Violences gynécologiques : à l’hôpital Tenon, l'enquête interne minimise les « manquements » du professeur Daraï
Dans les couloirs de l’hôpital Tenon à Paris. © Photo Fred Dufour / AFP
Alors que le gynécologue Émile Daraï est visé par plusieurs plaintes de patientes pour viols, l’AP-HP a publié jeudi les résultats de son enquête interne, qui parle de simples « manquements ». Le praticien est tout de même démis de ses fonctions de chef de service.
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Les équipes de Didier Raoult dénoncent les falsifications de leur patron sur l’hydroxychloroquine
Le professeur Didier Raoult, IHU de Marseille. © Christophe Simon/ AFP
Auditionnés en octobre sur leurs conditions de travail, plusieurs membres de l’IHU dénoncent les pressions exercées par Didier Raoult et la falsification de résultats scientifiques pour démontrer l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Mediapart a pu consulter un compte rendu de ces entretiens conduits, notamment, par l’Université d’Aix-Marseille, l’Inserm et l’AP-HM.
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IHU de Marseille : les ravages d’une expérimentation sauvage contre la tuberculose
Didier Raoult. © Photo Christophe Simon / AFP
Depuis 2017, l’Institut hospitalo-universitaire de Marseille mène une expérimentation sauvage contre la tuberculose, provoquant chez plusieurs patients, dont un mineur, de graves complications. En 2019 et 2020, l’ANSM n’a pas autorisé cet essai irrégulier. « Ceci n’est pas admissible et les suites adéquates sont initiées », selon l’autorité du médicament.
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Violences sexuelles dans l’Église : l’enjeu judiciaire
Jean-Marc Sauvé, président de la Ciase, remet le rapport à Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques. © Photo Thomas Coex / Pool / AFP
La Ciase a effectué vingt-deux signalements auprès des parquets pour des violences sexuelles dont elle a eu connaissance dans le cadre de ses travaux. Ce chiffre, peu élevé au regard du nombre de victimes identifiées, pose de nombreuses questions sur les suites à donner à ce rapport accablant.
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L’Église, bastion imprenable du patriarcat ?
Une semaine après le rapport sur les violences sexuelles, « À l’air libre » interroge la culture patriarcale qui règne dans l’Église, avec Josselin Tricou et Sabine Sauret (auteurs), Antoinette Frety (avocate) et Laurence Poujade (Sentinelle).
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Enquête pour viol contre un ponte de la gynécologie : huit ans d’alertes ignorées
Dans les couloirs de l’hôpital Tenon à Paris © Photo Fred Dufour / AFP
Une enquête pour « viol sur mineure de plus de quinze ans », visant un chirurgien de l’hôpital Tenon, a été ouverte par le parquet de Paris fin septembre. Plusieurs de ses patientes avaient dénoncé, depuis 2013, des violences gynécologiques auprès de l’AP-HP, de Sorbonne Université et de l’Ordre des médecins, sans qu’aucune vérification n’ait été lancée.
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