Je veux juste essayer de résumer ce que j’ai appris de mes exercices jusqu’à présent, dans un style plus relâché et plus proche de la manière habituelle de s’exprimer des philosophes. Peut-être que cette conclusion sera donc plus facile à lire pour eux ; elle sera peut-être aussi plus difficile pour les gens qui ne pratiquent pas cette discipline.
Dans l’exercice précédent, j’ai montré que le caractère impérieux des ordres dépendait des circonstances dans lesquelles on donne l’ordre. Dans celui-ci, je veux essayer de décrire certaines de ces circonstances, et d’en conclure des façons d’être impérieux. Pour ça, j’examine les formules semblables à l’ordre « Obéis ! »
Dans l'exercice précédent, j'ai parlé de l'étonnant caractère obligatoire des ordres, c'est-à-dire de leur caractère impérieux. Dans celui-ci, je me demande s'il existe, et où le trouver.