Les tenants de la doxa libérale triomphante résultant notamment des talents de prestidigitation du couronné de 2017, pensaient avoir au soir du 10 avril dernier, réussi une nouvelle fois le coup de maître électoral expérimenté in vivo par Chirac en 2002.
Seulement voilà, comme aime à le clamer notre cher Edwy, rien ne se passe jamais comme prévu... Et il faut bien le dire, l'avènement de cette Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale, ne faisait pas partie de la suite du menu électoral devant être consommé à l'issue de la réélection du Monarc.
De la sinistrose qui devait s'appesantir sur le peuple de Gauche, c'est finalement un puissant souffle d'espoir qui vient éclaircir les horizons sociaux, climatiques et démocratiques de ce quinquennat.
Cette seule perspective de voir poindre au cœur de l'amirauté néolibérale, une vague susceptible de briser le mythe atlantiste de "TINA", provoque déjà des tempêtes intra-crânienne. Signe évident de la vulnérabilité de la flotte supposée maintenir l'ordre politique au sein de la communauté internationale. Alors autant dire que si d'aventure en France, cette Union Populaire se voyait désignée par le scrutin du 19 juin prochain, pour prendre les commandes de l'assemblée nationale et du gouvernement, une pandémie d'AVC sera à déplorer dans les équipages de pédalos..
Mais deuxième effet "Kiss Cool" autrement plus puissant que ce seul évènement advenant en France, sera, à plus ou moins brève échéance, la multiplication de tentatives similaires au sein de l'UE, voire au delà...
À suivre...