ELECTIONS PRESIDENTIELLES
Si nous ne voulons pas subir la rupture hyper libérale du « futur » président François Fillon, il faut évidemment soutenir Alain Juppé dont le programme est tout de même plus…
modéré et plus réaliste ; de plus, il annonce d’entrée qu’il ne sollicitera qu’un mandat.
Comme les chances de la gauche à l’élection présidentielle sont proches de zéro, étant donné la dispersion des candidatures qui s’annonce, l’élection de dimanche prochain désignera, quasiment à coup sûr, le futur président de la France pour cinq ans. Le seul recours est que tous ceux qui ne souhaitent pas le choc brutal annoncé par Fillon se portent en masse derrière Alain Juppé pour éviter un troisième tour social qui pourrait n’être pas très apaisé.
La légalisation de l'avortement en Argentine les libèrent de la clandestinité à laquelle elles étaient contraintes. Cette victoire des femmes est par contre une grande défaite pour l'Eglise catholique et les évangélistes.
Comment la devise nationale dont la France est si fière est-elle pratiquée? Telle est la question. La liberté est de plus en plus grignotée au nom de la sécurité; les inégalités ont rarement été si profondes; quant à la fraternité, existe-t-elle encore?
La sauvagerie n'est peut-être pas là où le Ministre de l'intérieur la situe, chez les jeunes des quartiers qui s'ensauvagent. Après l'ensauvagement des colons dénoncés par Césaire, les lieux de sauvagerie ne manquent pas dans notre société.
La communauté internationale condamne unanimement le coup d'Etat des militaires au Mali au nom du droit. Toutefois, n'ont-ils pas relayé les revendications anciennes de la population ?
Sous peine d'un nouvel échec, la Cédéao devrait éviter de s'enfermer dans l'application du droit sans tenir compte de la réalité.
Dans un délai très court (7 heures) et sans indiquer le motif, une centaine de personnes sont convoquées ; en fait, pour répondre à une offre d'emploi. Avec la menace de radiation à celles qui ne se présenteront pas. Nouveau système pour éliminer des chômeurs?...
chômeurs?
La pandémie a cassé le rythme de nos vies. Une des causes est d'avoir mis en équation le temps et l'argent. L'Afrique pour laquelle le temps n'est pas de l'argent peut nous apporter la sagesse.
C'est un petit complément de l'article Le grand retour de la mort.
L'urgence sanitaire nous prive de dire au revoir aux nôtres et de pratiquer un rite funéraire.
Par ailleurs, c'est un retour sur la double fin de la vie qu'est notre mort pour évoquer le second sens de cette fin : sa signification.
notre société occidentale si fière de ses succès technologiques, en particuliers dans le domaine de la santé, est soudain surprise par la proximité envahissante de la mort qu'elle avait, d'une certaine manière, neutralisée.
quelles questions cela nous posent-ils? Comment vivre ensuite?...
La pandémie vous aurait-elle ouvert les yeux sur les impasses où nous conduisait votre politique ? Aurait-elle opéré une véritable conversion de la vision que vous portez désormais sur notre monde ?
Questions à suivre. Confiance vigilante dans l'attente de la réalisation des engagements.
Avec trois jours de retard pour cause de difficulté avec le blog de Mediapart, je reprends l'article que j'ai rédigé le 20 mars 2016 au moment de la signature du traité entre l'Europe et la Turquie