Et surtout 300 000 Euros de bénéfices nettes pour l’agence de PUB.
C’est très simple :
Demandez la photo de la jeune fille qui fait une pipe-cigarette à un vieux - sûrement pédophile - à cette agence de pub [anti-tabac] (5 Euros).
Achetez une brosse à dent à la place de la cigarette dans la bouche de la jeune fille (2 Euros).
Faite sortir, sans scrupule, de la bouche de la jeune fille des flots de dentifrice (pas de sperme, vous n'y pensez pas ;-).
A la rigueur, mettez, en arrière-plan, dans la main de la jeune fille le tube de dentifrice pour le visuel, pour l'accroche, pour le "teasing".
Débraguettez bien plus le monsieur pour être plus crédible.
Faites croire dans les journaux que cette pub va être interdite.
Laisser bruiter cette nouvelle affaire sur Internet, sur tous les blogs.
Laisser chauffer un peu.
Voilà le plat est servi - coût total de l’opération (moins de 10 Euros) - 300 000 Euros pour qui déjà ?
C’est la ligue DNCD ‘Défense des non consommateurs de dentifrice’ qui est le dindon de la farce (à moins qu’elle soit compromis).
Avec cette escroquerie publicitaire, débrouillez-vous, avec les politiques, pour faire cela avant un événement majeur, vous aurez un enfumage de première classe.
C’est comme ça chez …. nous : La "pornosité média-titanesque".
Je ne connaissais pas SAEZ avant. Voilà une campagne de PUB de 10 Euros, réussie grâce au Buzz !
Si le "J'accuse" avait été beaucoup plus gros, du genre "Jaccuse cette société de consommation, J"accuse la Pornosité ambiante", j'aurais peut-être adhéré.
Encore que ! Peut-on combattre un mal, en faisant plus mal encore ?