Je n'ai cessé de chercher ma place où qu'elle soit où qu'elle fût. En l'état, actuel des choses, elle transparaît une absence de parole celle renvoyant, à mon récit. Qui pourrait se contenter d'inégalités produites par la cité, pour ne citer qu'elle ?
Face à une surdité prenant en émoi les gens qui peinent à faire entendre des contrastes quand bien même seraient-ils dans le sens d'une histoire commune. Tandis qu'il n'y a pas " d'ère du temps ", il y a des voix inaudibles qui en se multipliant laisse percevoir des murmures. Dans l'ombre de la cité règne une assignation pour ceux qui ne sont rien. Alors ces voix pèsent les mots de la grogne sociale. La chose n'est pas rendue publique de ces " choses " performant dans l'obscurité loin d'une méritocratie teintée de reconnaissance légère. Hormis les compétitions sportives d'envergures internationales qui voient s'animer des corps comme florilège pour ceux dont les origines renvoient aux colonies quand ils sont couverts de succès ou au contraire renvoyés à leurs origines enclines aux désarrois.
Dans le pays des droits de l'homme lors de matchs de football, le fait de poser un genou à terre contre le racisme est mal vue. Tandis que dans ce genre de compétition, le racisme arbore des valeurs commerciales.
Un politiquement correcte qui a bon dos quand il fait de l'ombre à la dignité. Il faut croire que les dignités ont des emblèmes plus légitimes que d'autres.
L'important est de savoir se réinventer diront certains là où on a du mal à considérer la diversité.
Selon des hommes de paille brandissant de terribles menaces pour justifier leurs existences politiques. Aussi étranges soient-elles ces menaces servent à s'éloigner de notre maison commune comme planète. En s'attachant à son précieux lopin de terre pour y arroser des racines civilisationnelles eugéniste celles valorisant l'exclusion et l'indifférence.
Face à un monde qui rejette de plus en plus une interprétation unilatérale. La lumière commence à se faire sentir sur les différents versants de l'histoire. Un rendez-vous avec l'histoire qui ne consiste pas à se flageller, mais bel et bien d'honorer l'histoire de la commune humanité, pour que les générations futures qu'elles quelles soient, n'aient pas à rougir de cette écriture commune.