Manu nous annonce la fin de l'abondance. Alors que l'évasion fiscale, coûte, un pognon de dingue. Qui aurait prédis qu'un ancien banquier de chez Rotchild allait appliquer, une politique en faveur, des ultra riches ? Pour le constater, encore fallait-il, l'élire une deuxième fois, à la fonction de guide suprême.
Manu maquille par un discours managérial, la nature de son engagement, au service du pays, depuis une dizaine d'années. En temps de pandémie, il joue les influenceurs pour les lobbys pharmaceutique. Le reste du temps, il dirige avec son gouvernement, le service après vente, de l'oligarchie. Avec son gouvernement de fantoches qui s'embourgeoise de trafics d'influences, de conflits d'intérêts. Tel un système pyramidal prennant les allures d'un système de ponsi. Grâce au cabinet de conseil américain, Mckinsey qui préside la messe ultra-libéral. Toutefois, quand on voit l'état des services publiques, aux USA. On se demande, en quoi les conseils de ce fameux cabinet sont légitimes, pour accéder, au bonheur national. Tant ils s'inscrivent dans des politiques d'austérité, pour défiler le tapis rouge, du marché européen, aux firmes américaines. À ce petit jeu, Manu joue les saintes ni touches, alors qu'ils vend les bijoux de famille, aux américains. Face caméra, il se plaît à imiter Gatsby le magnifique, par sa dimension jupiterienne. Encouragé par sa mère adoptive qui lui sert accessoirement de première dame de France. Cette dernière paraît atteinte d'Alhzeimer. Quand elle vient nous quémander, les fonds de poches via l'opération pièce jaune pour sauver l'hôpital public. Alors que son Benjamin de mari a massacré, l'hôpital public, à coup de tronçonneuse.
Tant le pouvoir en place entend faire passer ses réformes néoliberales, de gré mais surtout de force. À voir l'usage d'un 49.3 qui sert à tailler en pièce une réforme des retraites qu'on nous présente comme indispensable. Sans tendre l'oreille au dialogue social et en coupant le sifflet de l'opposition. Tout en couronnant le fond de pension Black Rock qui lorgne le potentiel marché des retraites françaises. Grâce à un gouvernement d'hologrames qui répète en boucle, un mantra ultra-libéral dicté par leurs maîtres à penser Mc Kinsey. Ajouté à cela, les médias mainstream tentent de dévier, l'opinion publique, de la question sociale. En diffusant du matin au soir, une propagande sécuritaire axée, autour du terrorisme et de l'islam dit politique. Ces plateaux T.V. miroitent, une foire aux vanités. Des journalistes font les questions/réponses. Sous couvert de politiquement correct, ils ciblent d'invectives, les minorités et les voix dissidentes.
Mais aujourd'hui le peuple se lève d'un seul homme pour soulever, la question sociale. Vu que la déconnexion du pouvoir envers la réalité que vivent les francais les plus précaires est telle qu'on se demande, comment peut-on s'attaquer, à une réforme des retraites, en sortant d'une pandémie internationale ? Où les personnes âgées et les plus fragiles ont été les plus touchés par la pandémie. Cela, on dit long sur un programme mortifère qui est prôné, au sommet de l'état. Visiblement qui n'est pas en faveur, des plus modestes, bien au contraire.
Ce gouvernement d'hologrammes répète religieusement, un mantra néolibéral. Sans prendre en compte, l'opinion publique, et l'opposition, le pouvoir balaye d'un revers de la main, toutes alternatives quitte à durcir sa position. Ainsi, on voit en qui, ce pouvoir fait véritablement, allégeance. Dans un monde d'après qu'on nous a pourtant vanté comme potentiellement, plus altruiste. Forcé de constater qu'il en est rien. Aussi le combat pour la dignité, celui d'avoir une retraite décente pour pouvoir profiter, de ses vieux jours. Représente un combat qui transcende les barrières quelles qu'elles soient. Dans ce contexte, la question sociale émerge et sonne le glas, pour préserver ce qui reste de commun, dans nos sociétés. Face à un capitalisme énergivore et chronophage qui compte vampiriser, la force de travail jusqu'à la moelle. Grâce à un pouvoir qui promeut une start-up nation qu'on nous vante comme nouvelle conquête de l'ouest, où régnera la privatisation, la compétition et le chacun pour soi.
À croire que les élections sont galvaudées. Car les gouvernements de tout bord confondus se succèdent et appliquent les prérogatives européennes. Celles visant à endetter le pays pour justifier la mise en place de politiques d'austérités qui favorisent une privatisation, à outrance. La souveraineté des États ainsi mise à mal, le capital arriverait en bon samaritain en nous proposant des emplois de plus en plus précaires que fautes de politiques de redistribution et services publics, on ne pourrait refuser. La perversité du capital est telle qu'elle nous pousse à croire par médias interposés et autres reactionnaires de services qu'à cause des plus démunis l'état de la nation est en piteuse état. L'état aurait alors du mal à s'en sortir car il croule sous le poids des services publics. Alors que ce même état pour prendre l'exemple de la France. En étant au service des ultra-riches pille les caisses publiques pour le reverser, au capital, sans la moindre contrepartie.
À cet effet, la rue incarne encore et toujours, une force politique. Les abstentionnistes qu'on aurait pu croire apolitique viennent remplir les rangs, de la grogne sociale, afin de renverser, un temps du moins, les rapports de pouvoirs. Qui sont maintenus par des chaînes mentales, solidifiée par une peur qui rythme la marche au pas. Mais quand la peur change de camp. On se souvient alors qui détient le pouvoir. C'est pourquoi et à bien des égards, la lutte continue...