La tête dans les études, je rompt mon silence pour cautionner un peu toutes les tendances. La véritable problématique des mouvements citoyens, c'est la structure que certains veulent horizontale pour conquérir le pouvoir dans un système vertical.
Je poursuit, il faut une marque, un logo, un programme, un leader à la base et ensuite on peut mettre en place l'horizontalité, ensuite on peut avoir droit de cité. C'est triste certe, mais n'est il pas plus triste de le savoir et de ne pas agir pour changer ? L'actualité pourrie la réflexion nécessaire en ces temps troublés. L'argent pourri l'engagement nécessaire du peuple. Pour que l'espoir naisse il faut être audible, visible, repérable, éligible. Nous ne sommes rien de tout ça parce que nous ne voulons pas (plus) de ces arrangements entre "amis". Dont acte, toutes les tentatives se sont fracassées sur le mur du doute, de l'égo, de l'inconscience du drame que nous vivons et auquel nous nous résignions chaque jour. Il faut prendre le lead, Federer, éduquer, convaincre, parler des réalités et ne plus suivre les chimériques projets, échéances et promesses de ceux qui avides de pouvoir et de domination qui oubli le peuple qui l'a légitimé dès le lendemain de sa victoire. Nous ne sommes pas les victimes de ce système, nous en sommes les pourvoyeurs. Notre incapacité à construire un projet, à présenter une candidate ou/et un candidat derrière une marque, un nom, un logo, un projet est l'écueil de notre espoir citoyen. JLM