Je te fiche mon billet de ma mauvaise humeur ! Cédric Jubillar, « Je suis innocent » Hurle le jeune tarnais !
Je ne veux pas, dans ce rédactionnel, défendre ou accuser Cédric Jubillar, il a des avocats qui me paraissent à même de le défendre au mieux. Ce qui m’a motivé c’est l’article de la Dépêche du midi, faisant suite à la plainte Cédric Jubillar après une menace de mort !
Il y a des personnes qui passent leurs vies à faire du mal. Comment cette personne peut dire Cédric Jubillar est coupable ? Les fous sont de sortie ! Il reste cependant présumé innocent.
Mais nous pouvons nous poser des questions, car, d’après les dires de ses avocats, il n’y a rien dans le dossier.
Les Gendarmes font leur travail en profondeur, dans une recherche raisonnable. Mais comme toujours, il y a la justice qui pousse derrière, notamment, le procureur, qui est convaincu que le mari à des motivations certaines et avérées; qui pourrait être le coupable.
Cédric Jubillar est toujours en prison pour « homicide volontaire » sur son épouse, continue de contester son accusation dans l’affaire. Hurle son innocence !
Possible, selon lui, qu’une autre personne aurait fait du mal à sa femme, comme l’explique Le Nouveau Détective mercredi 4 août 2021. Il accuse un ouvrier de Cagnac, d’avoir caché Delphine « sous une plaque en fer ».
Cependant, pour certains, cet enregistrement respire la mise en scène. Cédric aurait pu tenter de duper les gendarmes ; pour cause, l’homme a été placé sur écoute, depuis le jour de la disparition de sa femme. Faut-il être coupable pour faire cela ? J’en suis moins sûr, car surmené, traqué, rouleau de questions pendant 48 heures ; il a pu péter les plombs comme l’on-dit !
Avant sa disparition Delphine, elle a échangé des messages avec la compagne de son amant, elle, s’était engagée de prendre ses distances avec son amant pendant les fêtes de Noël, vraisemblablement, un pacte scellé entre elle et la compagne de son amoureux.
« Mais la compagne prend les choses avec beaucoup de dignité puisqu’elle décide alors d’envoyer un SMS à la maîtresse de son compagnon : « Tu prendras ma place quand elle sera libre, pour le moment ce n’est pas le cas.. » Lui écrit-elle mardi 15 décembre 2020. Les deux femmes scellent alors une sorte de pacte, Delphine Jubillar lui assurant qu’elle gardera « toujours une place » entre eux » (La Dépêche du Midi).
Soumis au feu des questions, Cédric ne craque pas, et persiste en s’opposant toute implication.
Les enquêteurs ont beau juger, sur plusieurs points, ses explications « contradictoires », il ne cède rien et nie toute implication dans la disparition de sa femme… Il n’en est pas moins déféré devant un juge d’instruction, mis en examen pour meurtre aggravé.
« Son avocat, Me Jean-Baptiste Alary, dénonce aussitôt une décision « sévère et injustifiée » reposant sur un « dossier vide ». C’est de bonne guerre. Mais le dossier est-il réellement vide ? Pas tout à fait… D’abord, il y a le mobile. Quoi qu’il en dise, Cédric Jubillar savait qu’en cas de divorce, il perdrait beaucoup.
La maison de la rue Yves-Montand, à Cagnac-les-Mines, c’est Delphine qui en payait les traites. Elle aussi qui faisait bouillir la marmite grâce à son salaire d’infirmière.
En cas de partage, il aurait été bien incapable de lui racheter sa part, il aurait donc fallu vendre. Autre point litigieux, Cédric a toujours affirmé qu’en décembre 2020, à la veille du drame, il ignorait toujours que sa femme avait un amant. Aux gendarmes qui l’interrogent, il avoue toutefois avoir eu des soupçons ». (Nouveau Détective)
Nous ne savons pas qui à bien pu s’en prendre à Delphine Jubillar ! Est-elle partie avec un autre amant ? Assassinée ? Caché dans une cave par un amant éconduit ? Tout est possible, du moment que nous n’avons pas retrouvé Delphine, vivante ou morte.
Source : La Dépêche du Midi, Nouveau Détective, Femme actuelle,
Bon dimanche à vous tous.
Jean Olmini
Le 15 août 2021
