Son blog
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Singulière frivolité.
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«Jours meilleurs» à vendre
Encore des dealers d’espoir. Je les repère de loin. Tout à fait normal après plusieurs décennies de pratique. C’étaient déjà les dealers de mes parents et grands-parents. Leurs fournisseurs de « jours meilleurs » à domicile. Mes parents y croyaient. Et moi, je croyais en mes parents. C’était donc sérieux. Une parole importante. Leur ouvrir encore la porte ? -
Comment nous vivons dans des mondes toxiques
Antonin Malchiodi, La Casserole (publié dans "Mondes toxiques")
L'excellente revue « Monde commun » enquête sur nos environnements toxiques. Avec les regards d'anthropologues engagés et citoyens qui explorent de nouveaux modes de dialogue, d'écriture et d'interprétation du monde. Ni militante, ni experte, l'anthropologie publique naît dans la société et y revient. Pour le plus grand bonheur des géographes. (Par Gilles Fumey) -
Rue des Dos Cassés
Pourquoi ils s'évadent pas la nuit ? Sa question en voyant plusieurs hommes en sueur sous un soleil brûlant. Une dizaine d’ouvriers refaisaient la chaussée de la rue. Sous les yeux d’un enfant de quatre ans. Le visage encore ensommeillé. Il était persuadé de voir des prisonniers. Contraints à une sorte de punition infligée en public. L'enfant voulait les aider à s'évader. -
Dissoudre les images : l’abstraction photographique contemporaine
Laure Tiberghein, Screen #8, 2019, tirage chromogène sous verre, 50 x 40 cm © Laure Tiberghein, Adagp, Paris, 2020
Trois lieux questionnent, le temps d'une exposition, l’abstraction photographique redevenue prépondérante dans les années 2000, au moment où disparait l’argentique. « La photographie à l’épreuve de l'abstraction » en dresse un premier panorama au Frac Normandie Rouen avant de l’envisager par le prisme de la matérialité de l’image à Micro-Onde et par celui de la couleur au CPIF. -
Plus rien n’a de sens
Chères générations futures, si vous lisez ce message, c’est que vous l’avez trouvé à côté de mon corps, enterré très profond, le plus loin possible de mes contemporains (tout particulièrement de Pascal Praud) afin que vos archéologues ne pensent pas que j’étais en rapport avec eux. Et si je vous écris, c’est pour vous expliquer comment nous sommes tous devenus fous. -
Faire son temps
Quand tu aimes il faut partir, Blaise Cendrars © Joelle AlteregoQuelle place prennent 55 balais dans le placard ? C’est l’âge d'un de mes vieux potes. Après nos vœux, il m’annonce avoir fait son temps. Un silence se pose sur le fil du téléphone. Rejoint très vite pas plusieurs interrogations. Faire son temps. Des siècles que je n’avais pas entendu cette expression. Comment faire son temps sans être défait par lui ? -
Attaquer la crise de la culture à sa racine
La situation sanitaire agit révèle et aggrave une double crise préexistante qui touche le secteur culturel et créatif : une crise de la rémunération du travail artistique et une crise de la liberté de création. Les pouvoirs publics disposent de leviers permettant d’aller plus loin qu’une réponse à l’urgence, mais qui impliquent de sortir le secteur des logiques marchandes. Par Renaud Maes -
à la recherche d'un refuge ...et si la poésie
à la recherche d'un refuge, des femmes, des hommes –elle, lui ...nous -
EP 10 : Les Zapatistes libèrent le Chiapas
Il existe un endroit où le capitalisme a été vaincu. C'est le Chiapas !
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