Réorganiser une rédaction « traditionnelle » de presse papier pour l'adapter aux nouveaux moyens de diffusion de l'information (Internet, téléphonie mobile et autres lecteurs bientôt dans notre paume) n'est pas chose aisée. Cette évolution se heurte à la fois à des habitudes bien ancrées (bouclage unique à heure dite, confort de travail et, disons-le franchement, une certaine réticence au changement), mais aussi à une légitime inquiétude concernant l'appauvrissement du métier de journaliste.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous