Ce sera donc un «gel partiel». La secrétaire d'Etat Clinton s'est rendue samedi 31 octobre à Abou Dhabi (Emirats arabes unis) et Jérusalem, auprès de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, puis de Benjamin Nétanyahou, premier ministre d'Israël. Là, malgré le refus des Israéliens de geler les constructions en Cisjordanie, comme le demandaient les Etats-Unis, la secrétaire d'Etat a créé la surprise en qualifiant les efforts d'Israël de «sans précédent», en dépit du refus d'Israël de geler la colonisation, condition préalable à une reprise des négociations pour les Palestiniens, soutenus en ce sens par Washington avant le voyage d'Hillary Clinton. «Ce que nous avons reçu des Israéliens est sans précédent» et constitue «un mouvement positif», mais «ce n'est pas ce que nous préférons», a par la suite précisé la secrétaire d'Etat. «C'est comme pour les progrès faits par les Palestiniens en matière de sécurité», a-t-elle dit.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous