Le blog de La Plume Rieuse

Après le bombardement par Israël d’un camp de déplacés ayant brûlé vif 50 personnes, femmes et enfants, Macron dit attendre le moment utile pour reconnaître l’État de Palestine et ne pas céder à l’émotion... En réaction, plus de 400 voix de toute la gauche, appellent dans une tribune de l’Humanité, à la reconnaissance de l’État de Palestine. Un nom brille par son absence : Raphaël Glucksmann !

« Tu casses, tu répares » menaçait en ses termes la jeunesse, Gabriel Attal devant le parlement. Mais Capricieux Premier n’a que faire des palabres, il casse...

Macrons se rend « dès ce soir » en Nouvelle-Calédonie pour y installer une « mission ».

Démantèlement méthodique des services publics et du système de santé, hold-up sur l’assurance chômage et les retraites, enterrement de la paix en Kanaky, remise en cause du droit du sol… comme une partition pour un prélude à 2027. « J’ai encore tellement de choses à faire », osait Emmanuel Macron à la Une de La Tribune du dimanche, à la veille du septième anniversaire de son accession à l’Élysée.

Biberonné aux médias Bolloré, Gabriel Attal aboie au wokisme pour dénoncer les mobilisations en faveur de la Palestine à Sciences Po.

À un jeune en internat rééducatif préférant être dehors avec ses amis, Attal, qui ferait de la lutte contre les écrans une priorité, répond : « dehors ! Et qu’est-ce que tu vas faire dehors ? ». Dans cette mouvance autoritaire, assimilant jeunes et terroristes, Robert Ménard, maire extrême droite de Béziers, instaure un couvre-feu estival à partir de 23h00, pour les jeunes de moins de 13 ans.

Doubler la présence policière dans les rues, investir des milliards dans l’uniforme, servir le petit déjeuner pour remplir les ventres creusés par la pauvreté et l’inflation, évidement rien pour les enseignants : Attal prend à bras le corps l’éducation de la jeunesse…