N'allons nous pas nous reprocher - comme certains l'ont dit ( en son temps) - d'avoir fait l'erreur de faire coïncider les Élections du Président de la République, et celles du Parlement ; Députés et Sénateurs.
Le Président ne peut-il pas nous dire, tel un monarque " Je suis élu pour cinq ans , "mes" députés aussi; circulez, il n'y a rien à voir, à dire ou à redire". En revanche, il y eut à entendre, lorsque les mots proclamés, d'une manière inappropriée, ont choqué, tant le Peuple que la Presse, dont il est attendu - tout un chacun peut en convenir - qu'elle soit et qu'elle joue son rôle de contre-pouvoir.
En attendant de trouver de vrais partis, de vrais militants, de vrais syndicats, de vrais syndicalistes, de vrais électorats confiants en leur Peuple uni. À défaut, la génération qui vient ne devra ni se soumettre, ni admettre, en tout état de cause ces mots soufflés comme des fleurs de pissenlits.
Salut et Fraternité.
ALLEZ AVOIR.