Nous invitons une île ; celle où, chaque jour, le soleil naît avant partout ailleurs. Nous invitons « l'empire des signes », le pays où, selon Barthes, tout n'est qu'écriture ; l'archipel des symboles omniprésents.
Les lectures sous l’arbre, parce qu’un lieu de festival sans représentation est précieux dans l’été. Sans les torses bombés ou les airs trop sérieux d’un milieu, d’une compétition. Sous les arbres, dans les prés, on peut au contraire enfin relâcher les masques, les armes de guerre, dé-grimacer.
… Si je devais parler des Lectures sous l’arbre, je voudrais pouvoir en réunir quelques instantanés qui longtemps après font relief, continuent de miroiter au fil des jours ordinaires ;
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