Le blog de Lemaire Marie Josèphe

Les pacifistes ont raison ! puisqu'on finit par arrêter les guerres et par conclure un armistice : les cloches sonnent alors à toute volée ! comme le 11 novembre 1918.

attention les chevreuils ! c'est dimanche, jour de chasse

combien de poètes ont été contraints à l'exil ou bien emprisonnés, assassinés parce qu'ils ont pris parti ? et restent dangereux pour les pouvoirs...

vous trouverez tous les détails sur le ouaibe ; quel est le prix d'une vie humaine ?

où est-elle la poésie, dans quelles mains ? dans celles qui font tourner les machines, nettoyent les bureaux... et foin des tenants de l'abstraction qui les ignorent

il est des vies plus que d'autres, liées à l'histoire politique du pays ; l'Argentine, la dictature, les folles de mai, l'engagement politique et pourtant l'écriture, la poésie tout au long de sa vie

Ils auraient pu habiter n'importe où, loin des commerces, pas vraiment appréciés. Ceux de la rue d'Aubagne à Marseille n'intéressent pas non plus les autorités.

Impossible de savoir comment, où écrivait Borowski (sûrement pas comme cet homme tranquille aperçu dans un café). Son écriture était à la mesure de ce qu'il avait vécu en camps de concentration.

"les fascistes tuent les poète de la liberté et de l'amour" et leur mot d'ordre est bien reçu dans toute la société ; "mort aux minorités" est un appel très répandu...aujourd'hui aussi, bien sûr ! Erich Mühsam (1878-1934), lui, était écrivain, poète, anarchiste

aujourd'hui, jour des morts ; ce poème parle plutôt de ces non-livres : convenus, conventionnels, complaisants, truqués