Organisé depuis 1996, Les Écrans Documentaires s’interroge sur les évolutions du documentaire et tente d’en montrer la diversité. La 28ème édition aura lieu du 14 au 21 novembre à l'Espace Jean Vilar1…
d'Arcueil et au Lavoir Numérique de Gentilly
On parle souvent de « petite » et « grande histoire », moi je trouve que c’est des notions qui peuvent m’être familières, et qu’en même temps je trouve incorrectes parce que ces deux genres d’histoire se mêlent.
Le fait qu'on veuille faire un film, raconter son histoire, ça a sûrement dû jouer sur sa prise de conscience, pour comprendre que ce qu'elle vivait, ces violences sous toutes leurs formes, n'étaient ni banales, ni « normales ». Mais que ça n’était pas non plus fatal, qu’autre chose était possible. Après est-ce que ça l'a aidée à aller jusqu'au bout…
L'expérience de la fête, de la jeunesse, c'est une forme de banalité. Souvent dans les documentaires on parle de quelque chose de précis, d'important, qui arrive dans la vie des gens. Ici l'idée c'était de faire le contraire, de partir de la vie quotidienne, de quelque chose de très simple.
Comme moi, Lasco ne voulait pas faire quelque chose sur sa musique mais sur Les Lilas. Je trouvais ça chanmé d'avoir ça comme porte d'entrée et on s'est mis d'accord là-dessus dès le début.
« Nous avons été saisis face à ces deux êtres qui vivaient hors du temps, dans une cabane au plus profond des montagnes, en symbiose avec les autres vivants et les esprits qui les entouraient. »