FONDAMENTAL SE NOIE DANS SES MENSONGES POUR SURVIVRE AU NAUFRAGE DE SA PSYCHIATRIE
Lorsque je visite les sites de Fondamental à chaque ligne j’ai l’impression d’y lire un mensonge à tel point que je me suis demandé et que j’en ai d’ailleurs fait part à l’un de mes psys lorsque je consultais alors encore l’un de ceux-ci pour lui dire que je n’en croyais pas ce que j’y lisais.
Je ne peux pas tout vous raconter de tout ce que je lis comme mensonges à mon avis sur les sites de celui-ci. Mais très brièvement c’est ceci :
Ce n’est pas vrai que lorsqu’un schizophrène arrête son traitement c’est parce qu’alors il se sent bien et que pour cette raison il se croit guéri et arrête alors à tort celui-ci et rechute. Tous les schizophrènes sont avertis depuis que les neuroleptiques et les antipsychotiques existent par leur psy de la façon en général la suivante du risque qu’ils encourent alors : “Si vous arrêtez votre traitement c’est sûr que vous allez alors rechuter !”
Fondamental disait autrefois : “On ne parle pas de guérison !” désormais il déclare : “5 à 30 % des schizophrènes sont guéris !” (sur YouTube)
Il y a un problème sécuritaire en France et d’ailleurs sans doute partout dans le monde aussi qui est le suivant : tous les jours y a des millions voire des milliards de gens dans la rue qui sont délirants mais on ne les internait pas jusqu’à récemment car ils n’étaient pas alors dangereux. Mais en France notamment il y a eu des jugements de tribunaux qui ont abouti à la conclusion que lorsque par exemple un schizophrène ne prenait pas ou plus ses médicaments c’était son psy qui était alors coupable à la place de celui-ci de son crime. Le résultat actuel c’est que tous les médecins et pas seulement les psys bien sûr ont tous peur d’être jugés coupables en cas de crime futur de l’un de leur patient malade mental. Aucun test ni examen médical ne permet à l’heure actuelle ne prévoir l’avenir de qui que ce soit même alors en parfaite santé mentale et on en déduit que pour les schizophrènes c’est pareil ou pire. Tout médecin en France est censé prévoir alors l’avenir de ses malades. C’est pour cette raison que Fondamental prétend sur ses sites que ceux-ci doivent prendre une petite dose d’antipsychotique à vie pour se protéger eux-mêmes de leur avenir imprévisible pour leur psy. Le problème c’est que bien sûr comme déjà dit il y a des milliers de schizophrènes en France et des millions de schizophrènes dans le monde qui arrêtent leur antipsychotique et qui pour autant ne rechutent jamais : pour ceux-ci Fondamental veut le leur faire prendre quand même. Dans l’avenir que vont faire l’État, la justice, la psychiatrie, la police, etc. dans un but de sécurité au sujet des millions de gens voire des milliards de gens qui sont actuellement dans la rue délirants mais dont certains un jour ou l’autre l’un d’entre eux fera alors un crime ? C’est une aubaine bien sûr pour les laboratoires pharmaceutiques comme pour bien des politicards.
“Grâce à une petite dose d’antipsychotique à vie les schizophrènes peuvent avoir actuellement une vie sexuelle et affective quasi normale comme la plupart des autres gens dits normaux !” c’est Fondamental qui dit cela et qui ajoute même cette statistique : “50 % des schizophrènes ont une vie satisfaisante !” Mais satisfaisante pour qui en réalité ? pour les psys de Fondamental peut-être mais certainement pas pour tous ces schizophrènes qui ingurgitent un antipsychotique, je peux vous l'assurer. Il y aura toujours sous celui-ci des zombies qui vous diront qu’ils sont heureux voire très heureux. Les choses sont en réalité très compliquées car c’est vrai que ce genre de médicament psychotrope soulage vite la douleur sexuelle et affective et fait sortir vite aussi alors des délires. Mais le problème c’est en réalité que les malades n’ont plus grande sensibilité alors pour beaucoup de choses : il n’y a plus ni plaisir à regarder une femme ni à manger, etc. Ce genre de choses on ne s’en aperçoit que seulement lorsqu’on n’est plus un zombie qui en réalité alors s'ignore.
La vérité aussi bien sur les neuroleptiques que sur les antipsychotiques c’est qu’ils sont pour tout le monde toujours particulièrement inhumains et cela qu’elle que soit leur dosage même si ça va mieux c’est certain dès qu’on peut en diminuer leur dosage. Ce n’est bien sûr pas vrai du tout qu’avec ce genre de médicaments de nombreux schizophrènes pourraient avoir eux une vie dite satisfaisante comme soi-disant celle des autres gens. Les laboratores sont menteurs à ce sujet et les psys de Fondamental qui les prescrivent sont des menteurs bien sûr eux aussi à ce sujet.
Mes statistiques sont les suivantes :
3 % seulement des schizophrènes sont marié(e)s, 1 % seulement ont des enfants, 15 % travaillent, un sur deux fait une tentative de suicide au moins une fois dans sa vie et un sur six en meurt toujours actuellement.
Avis de la Haute Autorité de Santé :
"Prescrire un antipsychotique diminue l’espérance de vie des schizophrènes de 15 à 24 ans !"
Avis du Pr Edouard Zarifian :
"Si au bout de trois ans de traitement il n’y a pas eu de rechute il faut arrêter les médicaments !"
Et bien sûr à ce sujet il explique alors pourquoi dans ses livres.
Pourquoi aucun médecin, aucun psy, etc. ne suit jamais ce conseil ci-dessus à tel point que le Vidal écrit lui aussi sur Internet : ”Le malade doit être averti du maintien du traitement à vie !” Pour un être humain tué car son criminel n’aura pas pris son antipsychotique à la suite du bon conseil de son bon psy combien de schizophrènes n’ont-ils pas été condamnés à mort et tués prématurément du fait d'une justice sécuritaire aveugle ?"
Le 6 décembre 2025,
Lucien JEWCZUK