Je viens d’apprendre que dans de nombreux produits, notamment mes moins chers, souvent l’huile de palme était utilisée parce que peu coûteuse et aussi DÉRÉGLANT LE CONTRÔLE DE L’APPÉTIT ou de la SATIÉTÉ ! D’où le DÉVELOPPEMENT AUTOMATIQUE DE L’OBÉSITÉ ! Et ses CONSÉQUENCES !
Voir Le Canard Enchaîné N° 4755 du 14 décembre 2011 ou l’extrait d’article lu sur le site Altermonde ou Internet !
L'huile de palme est le principal ingrédient de la malbouffe !
Le gras le moins cher et le plus vendu au monde.
L’huile de palme est un cauchemar pour les nutritionnistes.
Surtout quand elle est partiellement hydrogénée, comme l’agroalimentaire aime nous la servir.
On en trouve partout : biscuits apéritifs, barres céréalières, frites ou croissants industriels.
Dans le groupe des mauvais élèves, on trouve, sans surprise, l’italien Ferrero (Nutella, œufs Kinder...), Brossard et ses gâteaux, mais aussi le géant Lactalis (crèmes laitières, barres chocolatées, pains spéciaux, biscuits...).
Selon WWF, près de la moitié des produits industriels vendus chez nous contiendraient de l’huile de palme, l’essentiel étant écoulé en grandes surfaces.
En France, la moitié des distributeurs et le quart des marques se font taper sur les doigts.
Les plus gros pourvoyeurs d’huile de palme seraient Les Mousquetaires, Système U et Auchan : entre 1 et 10 000 tonnes par an écoulées, selon l’ONG.
Mais, au fait, pourquoi les industriels s’en priveraient-ils ?
Non seulement le mauvais gras ne coûte que des queues de cerise et allonge la durée de vie des aliments, mais il pourrait même nous inciter à manger plus.
C’est du moins ce que laissent entendre les chercheurs de la très sérieuse University College de Londres, qui, en 2009, avaient sondé le moral de 10 000 Britanniques pendant quatre ans, tout en regardant ce qu’ils mettaient dans leur assiette.
Les mauvaises graisses déglingueraient le contrôle de l’appétit en empêchant la leptine, l’hormone qui pilote la sensation de satiété - mais aussi l’humeur et la dépression - d’atteindre le cerveau.
Comme on dit : mieux vaut en rire... gras !
J’ai hésité à ajouter ce billet puisque, vous plaçant au dessus de la mêlée, a priori, vous deviez toutes et tous connaître ce b-a ba du manger correct …
Ce sont les actualités TV de ce dimanche soir 18/12/11 qui m’ont subitement décidé.
J’ai appris que M. Chatel, l’actuel ministre de l’éducation nationale s’est retrouvé dans l’embarras face à Jean-Jacques Bourdin pour la dernière question de son interview.
Le journaliste de RMC lui a posé un problème, rédigé tel quel dans le cahier d’évaluation des CM2 : « Dix objets identiques coûtent 22 euros. Combien coûtent quinze de ces objets ? »
Il n’a pas su répondre !
Je connaissais déjà les faiblesses de M. Darcos face à la règle de trois, de M. Le Maire devant une conversion de l’hectare en m², de M. Besancenot devant 9*8 ! ! !
Comment peuvent-ils discuter sérieusement de sujets où tout est chiffré, où tout repose sur des calculs de rentabilité, etc. ? !
De mon temps on les aurait appelés des « Charlots ».
L’expression « Pieds nickelés » est encore d’actualité !
Cela étant, pourquoi des bobos seraient-il plus à l’aise devant les problèmes d’alimentation !
That is the question !
Ne serait-ce pas aussi LE PLAN « B » DES GOUVERNEMENTS devant régler le problème des RETRAITES et de la DETTE ? ! La solution la plus efficace ou réaliste, sachant que les hôpitaux pourront « toujours moins » faire face à l’affluence « toujours plus » importante des vieux ne voulant pas mourir ? !
Pierre Payen (Dunkerque)