13 départements sans gynécologues : le Sénat alerte sur ...
Mettre un gynécologue en zone rurale, c’est en enlever un ailleurs, il faut augmenter le nombre de gynécologues, mais cela prend du temps », détaille le sénateur LR des Deux-Sèvres. Annick Billon rappelle ainsi les chiffres sans équivoque du rapport, qui montrent une « carence terrible » : 13 départements sont dépourvus de gynécologues et 77 départements sont en dessous de la ...
https://www.publicsenat.fr/article/societe/13-departements-sans-gynecologues-le-senat...
A) LE PRINCIPAL RENSEIGNEMENT N’EST-IL PAS INDIQUÉ EN FILIGRANE ? ! (Ou subliminal pour les littéraires ! ! ! Pour les dit.e.s philosophes qui ne font que vendre du verbe-vent ! ! !
(*** *** *** « Au COMMENCEMENT était le VERBE Ch. 1.1 st. Jean ! A LA FIN AUSSI, au milieu des dit.e.s philosophes ! ! !)
(Voir l’article complet sur le problème du monde médical-gynécologique à la fin ! A noter que la désertification se retrouve à tous les niveaux ! On manque « toujours plus » de généralistes, les ancien.ne.s partent en retraite sans remplaçant.e.s !)
B) QU’EST-CE QUE LA PHILOSOPHIE ? !
Ces dit.e.s philosophes, qu’ont-ielles « cogité » lors du bilan de 2005 concernant notre génome différent d’environ 1% de celui du chimpanzé ? !
En 2011-12, lorsqqu’ielles ont « appris » que le néocortex (Donc un appareil hypercomplexe) ne fonctionnait dans la « durabilité » que dans la « redondance », quel a été leur « eurêka » intellectuel ? !
Quoi /qui les a empêché.e.s de comparer le fonctionnement d’une machine hypersophistiquée et celui de la société du 21ième siècle vivant sous l’addiction « Toujours plus » et-et tournant t. p. à flux t. p. tendu jusqu’à l’arrivée de la pandémie-Covid ? !
(*** Suffit-il de faire semblant de penser pour être un.e humain.e ? !
Oui M. Edgar Morin, si M. Henri Laborit était toujours là, il « se marrerait » !)
En 2018, n’a-t-on pas découvert l’interstitium (Une membrane plasmatique qui se retrouve partout sur le corps et-et qui joue aussi un rôle de redondance ! Qui, par ex., permet de cicatriser rapidement une peau égratignée) ? ! Se sont-ielles réveillé.e.s ? !
L'interstitium, cet organe du corps humain qui vient d ...
Loin d'être compact, l'interstitium s'apparente plus à de la dentelle. Il se compose de différents compartiments remplis de fluide, et soutenus par un alliage de collagène (solide) et d'élastine (souple) qui garantit son intégrité.
https://www.e-sante.fr/linterstitium-cet-organe-du-corps-humain-qui-vient-detre...
A quoi sert l'interstitium, nouvel organe du corps humain
Une étude publiée dans la revue Scientific Reports révèle la découverte du plus grand organe du corps humain : l’interstitium. Il s’agit d’une structure remplie de fluide circulant dans tout le corps.
https://www.doctissimo.fr/sante/news/insterstitium-nouvel-organe-corps-humain
[[[L’interstitium protège…
L’interstitium fonctionnerait comme un amortisseur qui empêche les tissus des organes et des muscles de se déchirer. "Ce réseau récemment découvert est la principale source de lymphe", indiquent également les auteurs de l’étude. Un liquide qui joue un rôle important dans l’organisme puisqu’il transporte les globules blancs, des cellules qui aident notre organisme à se défendre contre les infections.
…et menace notre santé !
Outre cette fonction "bouclier", l’interstitium, qui parcourt tout le corps, favoriserait la propagation des cancers. "Cette couche est une autoroute de fluide en mouvement", expliquent les chercheurs. …]]]
C) ENTRE LES PHILOSOPHES « VRAI.E.S » ET-ET LES PHILOSOPHES HOMO SAPIENS, N’EXISTE-IL PAS LA MÊME DIFFÉRENCE QU’ENTRE LES FEMMES/HOMMES « VRAI.E.S » ET-ET LES HOMO SAPIENS (LES ~1%+)
Qu’entre l’expression « Dignité humaine » et le mode de vie de la plupart des homo sapiens ? !
Qu’entre « Liberté, égalité, fraternité » et « Méritocratie » ? !
D) CHEZ LES SCIENTIFIQUES, LES RÉACTIONS ONT-ELLES ÉTÉ PLUS CONSÉQUENTES ? !
Non ! Je présume que le conditionnement par l’idéologie « humaniste » est responsable … (En plus, dénoncer la mystification revient à être débarqué.e, à perdre ses crédits de recherches pour anticapitalisme aggravé !)
E) TOUT DE MÊME, des homo sapiens « intelligents » (Surtout « mâles) ne sont-ils pas capables de délirer en se prenant pour ce qu’ils ne sont pas ? ! En enterrant le fait qu’ils ne sont même pas capables de comprendre la logique quantique/biologique/monde vivant ? ! ! !
Voir par ex. ce fantasme concernant le futur qui omet la disparition des moutures actuelles/le changement d’ère ! ! !
L’avenir de l’humanité se jouera-t-il dans les étoiles
L’idée est de collecter de l’énergie solaire dans des proportions gigantesques, sur d’énormes surfaces, via des panneaux installés sur la Terre ou dans l’espace, afin d’alimenter un faisceau électromagnétique extrêmement puissant. Ce laser serait dirigé vers les voiles réfléchissantes d’un vaisseau spatial, qui recevrait ainsi la poussée et l’énergie nécessaire ...
https://parismatch.be/.../549899/lavenir-de-lhumanite-se-jouera-t-il-dans-les-etoiles
F) Dans tous les domaines, la politique du T. p. vite et à t. p. bas prix et-et à flux t. p. tendu ne relève que de la dépendance d’un manque existentiel proche de celui de l’enfant totalement immature !
(Et-et les catastrophes naturelles sont t. p. impactantes et-et les dirigeant.e.s t. p. xyzs (Pas la peine de prendre des exemples !) et-et les déficits t. p. énormes et-et les pollutions t. p. délétères/toxiques ! ! !
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13 départements sans gynécologues : le Sénat alerte sur « une carence terrible » en milieu rural
Par Louis Mollier-Sabet https://www.publicsenat.fr/
Il existe en France de grandes inégalités face à l’accès à l’offre de soins. On connaît depuis longtemps ces endroits du territoire national, où la moindre consultation chez un généraliste nécessite de longs déplacements, appelés « déserts médicaux. » Ce que l’on connaît moins, en revanche, ce sont les difficultés spécifiques que ces déserts médicaux posent aux femmes, notamment dans l’accès aux soins gynécologiques. Une mission d’information sénatoriale intitulée « Femmes et ruralité : pour en finir avec les zones blanches de l’égalité », a tenté d’identifier ces « doubles peines » qui pèsent sur les femmes habitant en milieu rural, et notamment dans « l’accès aux soins. » Mais finalement, comme le pointait récemment un rapport d’information sénatorial, tous les ruraux ne souffrent-ils pas d’une inégalité d’accès aux soins ? C’est vrai, mais pour Annick Billon, présidente de la délégation sénatoriale aux droits des femmes, « ces inégalités sont multipliées quand on est une femme en milieu rural. »
» Lire aussi : Les inégalités entre les femmes et les hommes accentuées en milieu rural, pointe un rapport du Sénat
Déficit d’offre de soins et inégalités de mobilité
Là où le bât blesse, c’est en fait sur l’accès des femmes rurales à des soins gynécologiques. Philippe Mouiller, auteur du rapport sur « les collectivités à l’épreuve des déserts médicaux », explique bien que, si beaucoup de territoires manquent de médecins généralistes, c’est encore pire au niveau des spécialistes, et donc pour les gynécologues. « Pour les spécialistes, c’est tellement difficile, il y a des spécialités comme la gynécologie qui sont en forte tension. Mettre un gynécologue en zone rurale, c’est en enlever un ailleurs, il faut augmenter le nombre de gynécologues, mais cela prend du temps », détaille le sénateur LR des Deux-Sèvres. Annick Billon rappelle ainsi les chiffres sans équivoque du rapport, qui montrent une « carence terrible » : 13 départements sont dépourvus de gynécologues et 77 départements sont en dessous de la moyenne de 2,6 gynécologues pour 100 000 femmes en âge de consulter (plus de 15 ans).
D’autant plus que cette inégalité d’implantation territoriale se couple d’une inégalité de mobilité pour les femmes habitant en milieu rural : seules 80 % d’entre elles sont titulaires d’un permis B, contre 90 % des hommes ruraux. « La ruralité, cela veut aussi souvent dire avoir besoin de deux voitures par foyer pour être mobile », précise Annick Billon, qui déplore que certains foyers n’aient donc pas les moyens d’assurer la mobilité de la conjointe, moins souvent en emploi : « Concrètement, pour les femmes rurales, cela veut dire sacrifier des déplacements de santé pour privilégier des déplacements pour les enfants par exemple. » Le nombre de maternités sur le territoire métropolitain ayant par exemple été plus que divisé par deux entre 1975 et 2014, on comprend vite que la mobilité devient un enjeu majeur de l’accès aux soins, notamment dans les zones rurales, par définition peu denses.
Difficultés d’accès à la contraception, à des dépistages de cancer ou simplement à un suivi médical
Le problème, c’est que la gynécologie est une spécialité médicale censée fournir aux femmes un accès régulier à une démarche de prévention, de dépistage et de suivi médical. D’ailleurs, le rapport montre bien que c’est la gynécologie médicale – c’est-à-dire de suivi médical régulier – qui est la plus touchée par cette désertification, et moins la gynécologie obstétricienne – qui concerne des interventions chirurgicales plus lourdes et ponctuelles. À cet égard, Annick Billon rappelle que la spécialité de gynécologie médicale « avait été fermée il y a 20 ans », et avait finalement été réintégrée « récemment » dans les choix de spécialité des internes, avec 80 postes créés l’année dernière. « Mais pour 77 départements en dessous de la moyenne nationale, on est loin des besoins », poursuit la présidente de la délégation aux droits des femmes.
Ce déficit de maillage du territoire a de lourdes conséquences dans le suivi médical des femmes rurales. En termes de dépistage du cancer du sein, le département métropolitain avec le plus faible taux de dépistage est par exemple l’Ariège, département profondément rural. « On est en octobre rose, il faut rappeler que ce suivi et cette prévention sont essentiels », insiste Annick Billon. Pour la sénatrice centriste de Vendée, c’est un problème de santé publique massif, puisque 11 millions de femmes vivant en milieu rural souffrent ainsi de ces difficultés d’accès à la contraception, à des dépistages de cancer, à un frottis ou tout simplement à un suivi et à une information médicale capitale pour leur santé.
Augmenter le nombre de gynécologues, inciter à l’installation en milieu rural et s’appuyer sur les sages-femmes
Un tel enjeu appelle à des réponses politiques. Sur la désertification médicale en général, Philippe Mouiller rappelle que l’on dispose finalement de deux leviers : former plus de médecins au niveau national et améliorer l’attractivité des territoires déficitaires au niveau local. Le rapporteur de la mission d’information sur les collectivités face à la désertification médicale ne paraît pas très optimiste sur les perspectives d’amélioration dans le recrutement de gynécologues au niveau national : « Pour les spécialistes, c’est tellement difficile de recruter que c’est difficile de voir une solution à court terme. On a supprimé les ‘numerus closus’, mais les facultés n’ont pas les moyens d’accueillir beaucoup plus de monde. Et même si c’était le cas, cela mettrait des années à avoir des effets. »
Le sénateur des Deux-Sèvres semble donc plus pencher pour la deuxième approche, en mettant en avant les opportunités que pourraient créer les collectivités, « avec des bourses pour des étudiants, voire en allant jusqu’au salariat », de spécialistes dans des centres de santé. Les deux rapports, sur les déserts médicaux et les inégalités hommes / femmes en milieu rural, mettent en avant la nécessite de développer l’interdisciplinarité dans les professions médicales. En l’occurrence, les sages-femmes ont pris, dans les dernières années, un rôle croissant dans le « suivi gynécologique des femmes en bonne santé », en prescrivant la contraception, en participant au dépistage des cancers du sein et du col de l’utérus ou même en pratiquant l’IVG médicamenteuse. « Les sages-femmes prennent de plus en plus de responsabilités qui étaient dédiées aux gynécologues médicaux, c’est d’ailleurs pour cela qu’elles demandent une vraie reconnaissance du métier », précise Annick Billon. Si le maillage territorial assuré par les sages-femmes est déjà plus dense, « rares sont les sages-femmes qui s’installent dans une ville de 4000 habitants », tempère la présidente de la délégation aux droits des femmes. De même pour la médecine itinérante, qui reste une « expérience intéressante », mais « anecdotique » pour le moment, d’après la sénatrice. Autant de pistes à développer pour remédier à ce serpent de mer des déserts médicaux, et à sa version d’autant plus pénalisante pour des femmes rurales moins mobiles et qui ont besoin de spécialistes encore plus éloignés des territoires ruraux.
Publié le : 25/10/2021 à 17:55 - Mis à jour le : 25/10/2021 à 17:55
Crédits photo principale : Photo Sénat © Sénat
EN BREF ET-ET CONCLUSION ET-ET TOUS AZIMUTS, LES ÉRUPTIONS SOLAIRES N’ÉTANT PAS ÉCARTÉES, FAUTE DE REDONDANCE, LES SYSTÈMES ORGANISATIONNELS BLOQUERONT UN JOUR OU L’AUTRE !
Les cyberattaques ne font que commencer ! Les hackers russes sont en pointe !
Au nom de quel obstacle un.e philosophe n’a-t-ielle jamais pris quelques minutes de son existence pour expliquer que le « T. p. » est une arnaque fondamentale et-et létale dans le Monde vivant ? !
Que même les animaux ne sont pas victimes de cette aberration ? !
Que seuls des néocortex mal configurés ou demeurés enfantins désirent « tout » ? !
Ce thème ne serait-il pas aussi à mettre en relation avec la peur de la mort et-et le cerveau reptilien, le principe d’homéostasie ? ! ! !
Que sont ces pseudo philosophes qui n’ont même pas été capables, encore en 2022, de faire légaliser au moins « Le droit de mourir dans ladite dignité humaine » (L'euthanasie) ? !
Ne parlons pas du « Droit de programmer la durée de son séjour terrestre ! ! !
(Non ! Ce serait stupide d’introduire cette notion chez des enfants ! Chaque chose en son temps ! Il faut laisser le temps au temps ! Ce sera pour la prochaine ère ! ! !)
Amen !
Pierre Payen (Dunkerque)
Et-et si la guerre s’enlisait et-et les sanctions pénalisaient les économies ? !
Et-et si les populations, les pauvres, les raptag.e.s, se lâchaient ? !
Et-et si les catastrophes dues aux pollutions s’enchaînaient ? !
En quelques années, tout ne pourrait-il pas se terminer par la fin d’ère attendue et-et nécessaire pour que l’évolution de la planète puisse continuer ? !

Encore un type de Mediapart qui n’a rien compris !