Oui, une petite couche de plus de philosophie, précision des concepts et notions, clarté de conscience, histoire de faire plaisir aux molécules intégrées de Sartre et De Beauvoir, les deux moitiés de castors, qui martelèrent le fer pendant qu'il fut chaud au lieu de marteler le fût avant que ça refroidisse.
En effet, je viens d'inventer une méthode peut-être pas nouvelle, pour fabriquer de l'alcool vitaminé. A noter que je dis peut-être, car cette méthode est peut-être déjà utilisée pour le whisky et le whiskey ou bien le rhum ou le vin blanc, etc. Accrochez-vous, ça pourrait vous remplir les couches de matériau à odeur forte. Il est vrai que je bois, en ce moment, du concentré d'acérola, ce fruit ultra-vitaminé, ça fait du bien. Mais, comme il y a une petite mesurette pour la quantité par rapport aux AJR, de façon à se doser sa quantité personnelle, éventuellement se la répartir dans la journée, et que je trouvais que c'était un peu compliqué pour laver cette dosette mesurette en étant sûr qu'il ne reste rien sur les bords et au milieu, j'ai décidé de boire une gorgée à la bouteille au goulot tous les jours.
Et là, au bout d'une semaine, Ô joie, Ô vieillesse et demi, j'eus à réfléchir sur l'acidité que prenait le breuvage miraculeux, du sucre se formant au goulot à tel point que je vais étudier cette possibilité pour en faire une colle bio. En effet, j'obtenais de l'alcool d'acérola.
Il est évident que les bactéries d'un liquide pouvant fermenter, apportées par la succion d'un goulot de ce type de liquide enclenche une fermentation du type alcoolique. J'ai donc inventé l'alcool d'acérola en bavant sur le goulot. Si c'est en crachant dans les fûts de raisin foulé aux pieds que le Côtes du Rhône se fait, alors, je pense avoir raison de n'en pas boire. Si votre champagne est fait de même, ça ne m'étonne pas que je n'aima pas le champagne, en plus des bulles de dioxyde de carbone et des éventuels habituels répandus pesticides et désinfectants.
Bref, voici une couche supplémentaire de méconnaissance éclairée par la connaissance du processus de déduction logique, cette fois-ci, à partir du constat d'une réalité et une interrogation du type philosophico-scientifico-mathématique permettant à partir de vocabulaire adéquat et cohérent, d'aboutir à l'explication rationnelle.
Et à propos de couches, en-dehors du fait que l'on se demande si la manif pour tous ne contiendrait pas par hasard un maximum d'incontinent.e.s de moins de sept ans et plus de soixante-dix-sept ans comme a l'habitude d'avoir pour adhérent.e.s les extrémistes droitistes quel que soit le pays, ou la planète, les couches archéologiques peuvent être superposées de même, déductives logiques, temporelles inaltérables et inaliénables comme le Droit d'Auteur.e. En effet, je voulais dire que les Aztèques ont peut-être la réputation d'avoir été un peuple sauvage mal éduqué et violent, préférant sacrifier les vierges en les violant et les balançant ensuite dans la fosse aux serpents plutôt que d'admirer le ciel et faire coucou aux extra-terrestres. Eh bien non, le fait est que la plupart de leurs temples ont été édifiés au plus haut possible au-dessus de la voûte des arbres, où les singes faisaient de la cuisine vegan et de la médecine, herboristes que ces quatre-mains. Oui, les Aztèques ont connu de ces périodes où les Dieux et Déesses, socialistes, honnêtes de naissance, sont né.e.s et ont essayé d'enseigner à un peuple, d'apprendre à respecter la Nature, à respecter les Droits Fondamentaux et Humains et leur Environnement sur Terre et dans les Cieux, à des pédophiles qui s'accouplaient en couples de pédophiles, de façon à essayer de leur adoucir un peu les douleurs et faire baisser l'incontinence, rappelant que les migrations permettent de se dire que les asuras sont parti.e.s de l'Inde originelle et ont essayé de s'installer un peu partout ailleurs, ne supportant jamais le climat où que ce fut, et que ce soit, ce qui se remarque dans l'étude linguistique étymologique et phonétique, ces indien.ne.s amérindien.ne.s ayant donc traversé elles et eux aussi la Chine actuelle, la Corée et le Détroit de Bering et ont tenté de redescendre vers le Mexique puis la Terre de Feu, ne pouvant aller plus loin, comme du côté Ouest, les Goths et Vikings n'ont pas pu décoller de la Bretagne et attendent encore d'avoir le signal pour partir à la nage rejoindre les deux bords avec une longue échelle de corde pour rejoindre la Terre des Mort.e.s Odin Thor et les Autres. Vous me direz " 'peuvent attendre longtemps" et je n'ai pas dit le contraire, les ignares étant les ignares qui croient encore à l'heure actuelle que la Terre est plate, et croient chacun chacune être le Centre du Monde et de l'Univers. Ce qui les limite, c'est la réalité concrète, leurs impasses neurologiques et donc organiques irréversibles.
Les religions sont comme ces couches archéologiques: au début, le texte est logique, puis les rédacteurs.trices meurent, des abruti.e.s tentent de faire comme les Sages, tentent aussi d'enseigner sur fond d'incompréhensions, la hiérarchie se tare, les faux-dévots et fausses-dévotes s'accouplent en pédophiles, et il faut ensuite trouver des solutions pour avoir suffisamment de lits pour les entasser dans les hôpitaux et maisons médicalisées en attendant que les fièvres baissent, mais rien n'est recouvert par ces incohérences que les traditionalistes tentent de placer à la place des textes vrais. De même pour l'Art, celui notamment pictural: les nazi.e.s ont volé des peintures et sculptures, ainsi que de la bijouterie, mais ont du et doivent les rendre, ne peuvent pas remplacer les noms des artistes et artisans qui ont façonné ces ouvrages d'art par leurs noms à elles et eux, et ne l'ont pas pu comme ne le pourront pas. Le refoulement n'aura pas lieu, même dans huit cents ans.
Jeanne d'Arc a peut-être dit: "Vous ne m'avez pas crue, vous ne m'aurez pas cuite", et moi je dis: "Vous ne m'aurez ni cru, ni cuit, ni fumé, ni vaporisé ni au bain-marie, les traditionalistes. Et vous ne m'aurez pas ré-écrit."
J'en rajouterai une couche, parce que j'ai dit à mon article de blog précédent que j'avais une tartine de prévue à l'avance, et je la garde pour l'instant, mais pas chez vous.