Pass sanitaire, bientôt le pass vaccinal. Quel avenir radieux! Les derniers récalcitrants qui n'ont fait aucune injection ne pourront bientôt plus échapper à la sacro-sainte piqûre. Convaincus ou non par les bienfaits de cet antidote, les Français devront se plier à la volonté du gouvernement sans qu’il leur soit laissé une solution alternative.
Le passage au passeport vaccinal signe la pérennisation d'un passeport intérieur distinguant les personnes dociles des autres. Quel autre vaccin a le même statut ? Il s'agit d'une énième déclinaison des ruses pour faire accepter une surveillance de masse qui n'a comme but que le contrôle social des foules.
La sidération née de la violence arbitraire des décisions prises durant la crise covid relève de la manipulation de masse, un outil de torture psychologique bien connu des militaires. Pourquoi une telle violence à la place de protocoles de soins ? Comment démonter cette machine de propagande pour résister au conditionnement ?
Mesdames et Messieurs les Député⸱e⸱s, Sénatrices et Sénateurs. Je vous écris pour tirer la sonnette d’alarme et témoigner de la situation que je rencontre actuellement en tant que médecin, ne partageant pas la politique sanitaire du gouvernement contre le covid-19, afin que vous mesuriez les conséquences des décisions gouvernementales sur la santé de nos concitoyen·ne·s.
Loin d’être des « cas » isolés, les personnes de chair et de sang qui endurent des souffrances inouïes après une ou deux doses de Pfizer, AZ, J&J ou Moderna, EXISTENT. Le mur d’indifférence dressé autour d’elles est d’une cruauté extrême, et pour tous, constitue un dangereux déni.
On entend ça et là des types déclarer que des esprits malins auraient converti des égarés au complotisme en diffusant des fakes news : comme quoi seule une prédisposition au complotisme pourrait amener à douter du bien-fondé de la gestion de la crise par les autorités. Peut-être, mais moi j'ai pas été influencé, et j'ai noté jour après jour comment je voyais les choses.
Nouvelle illustration de l’effet cliquet des mesures sécuritaires : le Parlement s’apprête à voter la prorogation jusqu’au 31 juillet 2022 de l’ensemble du mille-feuille législatif né de la crise du covid-19. Le temporaire s’incruste dans la durée comme dans nos quotidiens ; l’exceptionnel se banalise.