Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Cris de désespoir Horreur de la violence A force de la côtoyer. Où les va-t-en guerre Ne sont jamais apprécié.e.s Devant tant d’inconséquences Où nos valeurs humaines Sont de moins en moins respectées. Inconsciemment sont-ils en alarme Perdent-ils leur sang froid ? Ou sont-ils comme ce jeune barman Qui déjeunait à une table près du bar Quand le patron, Un colosse de 2 m de haut et de 150 kilos Menaça sa femme, de l’autre côté du bar, Avec ce cendrier de bar en cristal Qui pesait une tonne et qui était si ciselé Que je le voyais tous les matins ou presque Le faire tomber du haut du bar Dans l’espoir de plus avoir à le nettoyer Et où, à chaque fois il soufflait de désespoir D’avoir encore raté son coup. Est-ce cela qui le fit sauter à pieds joints Sur le bar, en hurlant à la figure de son patron « Arrêtes de déconner, avec ça tu vas la tuer » Le figeant sur place, comme tétanisé Où je n’arrive pas à savoir Si c’est la peur ou la raison retrouvée Que j’ai lue sur son visage. En tous les cas, il se fondit en remerciements Pour lui avoir évité de faire une telle folie
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