Une caméra de sécurité montre un animal ressemblant à un renard à proximité de la cuve de confinement du réacteur no.2 de la centrale de Fukushima Daiichi. Les bâtiments réacteurs sont toujours inaccessibles aux humains en raison de la radioactivité intense [plus de 10 sieverts/h]. TEPCO ne sait pas par où l'animal a pu entrer et n'a pas trouvé de trace du renard aux alentours de la centrale.
Début octobre, Hori Yasuo, grand témoin de la catastrophe de Fukushima catastrophe-de-fukushima (http://www.fukushima-blog.com/hori-yasuo-grand-témoin-de-la-catastrophe-de-fukushima), s'est à nouveau rendu dans la préfecture de Fukushima, dans la région côtière.
La sécurité alimentaire a longtemps été l'une des priorités de la Chine. Récemment cependant, le gouvernement a accepté des accords commerciaux qui obligent La Chine à importer des denrées alimentaires et favorisent l'essor de l'agrobusiness. Cette évolution affecte en réalité les paysans du monde entier.
Il faut tout annuler : L’ancien ambassadeur du Japon en Suisse, Mitsuhei Murata, a récemment suggéré que le Japon devrait se résoudre à un « retrait honorable » [ de son projet d’accueillir les Jeux olympiques de 2020], en raison de l’imprévisibilité de la situation à la centrale nucléaire dévastée de Fukushima n°1.
Absence de débat public, normes sans fondement juridique et soumission des États aux intérêts des grandes entreprises expliquent l'expansion spectaculaire des OGM en Amérique latine. GRAIN examine ici le cas de l'Argentine et montre qu'une autre agriculture est possible.
TIAA-CREF, l'un des plus grands fonds de pension américains, est accusé d'avoir acheté des terres dans le cerrado brésilien, par le biais d'un spéculateur foncier brésilien d'assez fâcheuse réputation. Pourtant TIAA-CREF se vante de respecter les valeurs de l'investissement responsable.
La REDD+, l'un des principaux mécanismes du marché du carbone destiné à réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts, n'est pas une solution, contrairement à ce que prétend la COP21.
Plus de 9 millions de sacs contaminés par la radioactivité traînent dans la Préfecture de Fukushima. lls proviennent des efforts de décontamination menés depuis la catastrophe pour "nettoyer" la région. Ces sacs ne sont qu'un "petit" aspect des problèmes que doit affronter le Japon pour décontaminer, contrôler la centrale et éventuellement la démanteler.