2 questions sur l’accord à gauche.
Ne pas en rester au cartel de partis. Comment les électeurs deviennent un pouvoir de collaboration avec les élus ?
Où prendre l’argent ? Nous ne sommes plus au temps où le capital se reproduisait par le travail. Il vit du pillage des fonds publics. Le Cac 40 a versé 100 milliards de dividendes.
En socialiser une partie conditionne les intentions affichées.
Nous libérer de toute attente d'être sauvés d’en haut. 2. l’espace de l’extrême-droite ce ne sont pas les abstentions mais les désillusions dues aux politiques menées sous des étiquettes différentes et que l’on la laisse apparaître seule hors système.3) Le boycott n’est pas l’abstention. 4)Il aurait pour effet de dégager les législatives de la présidentielle 5) Cela implique une vraie campagne.
Le monde politique aborde ces élections comme s’il était banal qu’une personne soit, à elle seule, l’institution suprême. L’hypertrophie de la personnalité relègue dans son ombre les forces qui sont « derrière ». D’où la division à la gauche de la gauche. Les législatives sont réduites à être le 3ème tour de la présidentielle. Le boycott donnerait un sens collectif donc politique aux abstentions.
L’ampleur des abstentions n’est-elle pas un phénomène structurel ? Ne signale-t-elle pas l’obsolescence du système représentatif ? Ce dernier correspond-il aux mutations profondes de notre époque ? L’ampleur des abstentions ne signale-t-elle pas une aspiration-même encore confuse- à un type de démocratie qui permette de ne pas être considéré comme citoyen seulement le temps passé dans un isoloir ?