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L’après-Hollande a commencé
7 juin, cérémonie pour l'anniversaire du Débarquement. © (Elysée)
C’est le secret le mieux gardé de la République : il n’y a plus de gouvernement. Mais y a-t-il encore un président ? L’affaire de la vraie fausse démission d’Arnaud Montebourg n’est pas un nouveau couac suivi d’un démenti de plus. Elle dit la lutte pour le pouvoir qui s’intensifie dans le vide laissé par la gestion erratique de François Hollande.
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Thomas Frank: «Le problème des Etats-Unis, c'est la ploutocratie»
Vidéos accessibles dans l'article.
L'argent sans limites, l'argent qui contrôle la politique: l'essayiste américain Thomas Frank analyse les ressorts de la crise de la présidence Obama. Avec les républicains dominant désormais le Congrès, la Maison Blanche se trouve paralysée.
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Les néonazis gagnent du terrain en Espagne
Une nouvelle génération a débarqué dans le paysage de l’extrême droite espagnole, gagnant même des sièges aux dernières municipales. Le foot est leur meilleure plateforme de propagande pour brandir drapeaux et pancartes sous l'œil des caméras. Enquête d'un journaliste infiltré dans le milieu skinhead.
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Le sursaut ou la catastrophe
Depuis quelques mois, la grogne et même l'exaspération prennent de l'ampleur dans les rangs des élus socialistes. Il n'y a pas encore de ténor, à la manière d'un Marceau Pivert en 1937, qui menace de claquer la porte mais une interpellation se fait de plus en plus forte : pour conjurer la catastrophe qui vient, il faut un sursaut.
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Huit défaites pour le PS, zéro remise en cause
Au lendemain de la huitième législative partielle perdue depuis l’élection de Hollande, on ne peut qu’être admiratif face au talent indéniable des socialistes à regarder ailleurs quand la maison brûle.
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La République des comptables à lunettes
« On fait campagne en poésie, mais on gouverne en prose » : François Hollande préside en chiffres. L’impasse narrative et politique du pouvoir socialiste n’est pas réductible à un défaut de communication. Elle est le fruit d’une déconnexion historique entre la souveraineté de l’État et la représentation du pouvoir.
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Alarme, citoyens !
21 avril 2002–22 avril 2012 : l’indolence de Chirac puis la virulence de Sarkozy ont alourdi l’hypothèque de l’extrême droite sur la vie publique. Que la progression du FN soit à porter au débit de la droite, c’est l’évidence. Mais que la gauche ne saurait s’en satisfaire en est une autre. Le défi est d’autant plus immense : relever la France d’une déchéance annoncée, en refondant la République.
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Et si Montebourg n’avait pas tout perdu?
Le ministre prônait une nationalisation temporaire du site ArcelorMittal de Florange. Il a été désavoué par Jean-Marc Ayrault et a songé à démissionner. Mais dans les rangs de la majorité, son volontarisme est salué. Et beaucoup pensent que l’avenir pourrait lui donner raison.
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L'espoir et l'inquiétude
Au soir du 6 mai, nous saurons si c’en est bien fini de cette présidence de dégradation nationale. Mais il ne suffira pas de tourner la page Sarkozy pour se débarrasser de tout ce qu’il laissera en héritage. Saurons-nous relever la France du marécage où elle est embourbée ? Saurons-nous saisir cette occasion historique : transformer une alternance électorale en alternative démocratique ?